Souvenirs de Barcelone
Datte: 14/01/2018,
Catégories:
fhhh,
grp,
inconnu,
Collègues / Travail
boitenuit,
voyage,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
init,
confession,
extraconj,
... plus qu’une chose : me faire prendre ! Le premier vint se positionner sous moi pour me pénétrer l’anus et le deuxième m’enfonça sa queue au plus profond de ma chatte. Je gesticulai au rythme de leurs coups de reins et je sentis venir en moi un plaisir qui me rendait insatiable. Je fis un signe à ceux qui nous mataient afin qu’ils viennent nous rejoindre et ils ne se firent pas prier. Je ne cherchais plus à comprendre ce qui m’arrivait. Des sexes me sortaient du corps, d’autres y rentraient, plusieurs mains posées sur moi me caressaient… Ce moment était si intense que je fermai les yeux pour qu’il ne s’arrête jamais, préférant me contenter de bouger le corps tel que m’y invitaient ces partenaires d’un soir. Soudain, je reconnus un corps qui ne m’était pas étranger ; j’ouvris les yeux et je vis mon cher patron qui était revenu me chercher après en avoir terminé avec ses autres agapes. Rassurée de l’avoir retrouvé, je lui susurrai de demander aux autres de nous laisser seuls et le priai de me sodomiser. Avec autorité, il obtint que mes assaillants s’éloignent ; je lui ouvris mes fesses et il y enfila son sexe sans aucun préliminaire. C’était vraiment bizarre de se retrouver dans cette posture avec mon patron sous le regard pervers de spectateurs masqués qui se masturbaient au-dessus de nous. Je poussais des grands cris de plaisir quand, tout à coup, je sentis couler sur mes reins une giclée ...
... de sperme chaud, puis une seconde sur mon épaule, puis une troisième sur les cheveux. C’était bon… Mon patron, qui me pilonnait l’anus sans relâche, finit par se retirer pour jouir sur mes fesses et il s’affaissa à mes côtés, comme pour dire qu’il en avait terminé. Une fois rhabillés, nous sommes retournés à notre hôtel. Ne souhaitant pas dormir seule, je lui ai proposé de dormir dans sa chambre et nous avons remis ça. Après quatre jours d’absence, mon mari était terriblement excité de me retrouver. Pendant que nous faisions l’amour, je me remémorai cette folle soirée à Barcelone et je me rendis compte que ce que me faisait mon mari était moins jouissif que ce que m’avaient fait connaître mon patron et mes autres partenaires. J’avais apparemment pris goût au libertinage mais mon mari étant extrêmement jaloux, il me fut impossible de lui en parler. À chacun de mes déplacements avec mon Patron, nous remettions ça. Plus nous partagions d’expériences sexuelles, plus il était question de tout plaquer l’un pour l’autre. Nous nous sommes mariés il y a dix ans et, bien que nous ayons eu deux beaux enfants, notre vie sexuelle est aussi intense et toujours pimentée d’imprévus. Cette soirée en club échangiste m’a fait découvrir des sources de plaisir et je recommande à toutes celles qui ne se sentent pas sexuellement épanouies, comme je le fus, de tenter l’aventure. Amitiés libertines, Crazy Désir