Ca a commencé comme ça ! (12)
Datte: 15/01/2018,
Catégories:
Divers,
... qu’a lui demander si ça la gêne, fit Lucie, et on verra bien. Le lendemain, tandis que Monique bouquinait au soleil, j’ai rejoint Lucie dans la piscine. Puis, avant de retourner bronzer, j’ai abandonné ma culotte, sortant de l’eau toute nue. Je me suis dirigée lentement vers Monique, prenant le temps d’étaler ma serviette et de m’y allonger - sur le ventre quand même !. Monique semblait très absorbée par sa lecture. Ca ne te fait rien si je me mets toute nue, demandais je . Elle semblait très gênée, bredouillant : non ....., c’est que je n’ai pas l’habitude .. Tu as bien vu, être seins nus m’a demandé un effort. Je crois que je n’aurais jamais osé faire ça toute seule. Avec vous, ça m’a semblé plus facile . Ben tu vois ! tu ne sembles plus gênée, et ton bronzage est beaucoup plus joli, comme ça, sans aucune marque . Sure le ventre et les fesses, c’est pareil : les marques blanches, ça gâche tout. Je suis sûre qu’ André appréciera . Moi, j’étais comme toi au début, fit Lucie qui nous avait rejoint. J’en avais envie mais je n’osais pas. Je m’inventais des prétextes pour ne pas oser le faire : que j’étais moche, que j’avais un gros cul, enfin, tu vois le genre, quoi ! Et comme ma frangine le faisait, je me suis dit que j’ étais aussi bien foutue qu’elle. Et ici, il n’y a personne pour nous vois, a part nos toutous chéris ! Alors un jour, j’ai décidé : plus de culotte. Tu verras, c’est génial ! sentiment de liberté absolue !! Tu seras vite comme nous, tu ne pourras plus t’en ...
... passer . Il faut que je me fasse à cette idée, répondit Monique . On verra. Nous n’avons pas insisté, laissant notre amie se faire à cette idée, comme elle disait . Par contre, nous n’étions plus gênées d’être nues devant elle pour parfaire notre bronzage. Tu as vue Monique cet après midi, me demanda Lucie quelques jours plus tard ? Non, pourquoi, qu’est ce qu’elle à fait ? T’as pas vu son maillot ? Elle à roulé sa culotte sur ses hanches, si bas qu’elle ne cachait presque plus rien. Elle avait même la touffe à l’air, ajouta t ’elle en riant. Je ne lui donne pas une semaine avant qu’elle se foute à poil, c’est le cas de le dire ! Effectivement, le mardi suivant, Monique est venue nous rejoindre comme d’habitude. Nous étions Lucie et moi, en train de barboter dans l’eau. Elle s’est déshabillée, quittant son haut de maillot comme elle le faisait maintenant, puis s’est enroulée dans une serviette avant de se tortiller maladroitement dessous. Sa démarche, en nous rejoignant, témoignait de sa gêne. Elle s’est assise sur la margelle, maintenant sa serviette autours de sa taille, mettant juste les pieds dans l’eau. Tu ne viens pas nous rejoindre ? demandais je. Elle à hésité un instant, puis, d’un geste brusque, a dégrafé la serviette et s’est laissée glissé dans l’eau. Lucie et moi continuions de barboter, de nager, comme si de rien n’était. Monique s’est enfin enhardie, faisant des longueurs le long de la rive ou gisait sa précieuse serviette, mais, de temps en temps, ses jolies ...