Sucettes du soir - Histoires de Sexe

Sucettes du soir

... Qu’est-ce qui t’arrive, Jipé ? T’as couru un cent mètres ?— C’est çaaa… r-rigole ! Pfffu ! Laura est une s-suceuse de p-première ! J’me d’mande comment ça s’fait que tu n’sois pas d-déjà mort et enterré !— Tu souhaites ma mort pour me piquer ma femme ou quoi ? Jean-Paul marque une petite pause pour mieux récupérer puis se lance : — Si jamais un jour, tu vas au ciel, François, je serais le premier à m’inscrire sur la liste de tes remplaçants sur Terre !— Pas besoin d’aller au ciel, je vais au septième très très souvent !— Te connaissant et connaissant ta chère femme, je n’en doute pas un seul instant ! Sacré veinard, va ! M’enlaçant, Laura intervient : — Jean-Paul, je n’ai pas trop envie que mon François se fasse la malle au ciel ! Mais je te remercie pour être le premier à t’inscrire sur la liste !— Tout le plaisir est pour moi ! Je préfère mourir dans la force de l’âge dans ta bouche plutôt que trop vieux dans mon lit !— C’est joliment dit ! Coquine, elle taquine à présent la braguette de notre ami avant de poursuivre : — Par contre, là, il faudra montrer un peu plus de résistance et savoir remettre le couvert plus facilement…— Avec de l’entraînement, on arrive à tout, ma chère Laura… Et puis, avec toi comme coach, j’apprendrai sûrement très vite ! Puis nous discutons d’un peu de tout. Jean-Paul est de bonne compagnie, son seul défaut finalement, c’est sa femme qui est moins conviviale et surtout assez soupe au lait. Je me demande pourquoi diable il l’a épousée et qu’il lui ...

... fait trois enfants ! J’en viens à me poser la question du comment ! Dans le couloir, Jean-Paul nous dit au revoir. Tout en lui faisant la bise, Laura lui met carrément la main au paquet : — Quand tu veux, quand tu auras récupéré !— J’ai déjà récupéré ! Pourquoi ce n’est pas moi qui t’ai vue le premier ?— Fallait être là au bon moment ! Mais ne te plaints pas, mon petit Jipé, tu peux quand même profiter de moi…— Pas assez à mon goût, pas assez !— Ah ça, c’est toi que ça regarde… Elle relâche sa mainmise : — Allez, à bientôt ! Et reviens quand tu peux, mon Jean-Paul d’amour !— À bientôt, vous deux ! Il s’en va, Laura referme la porte, puis elle me regarde, faussement navrée : — Je suppose que tu souhaites la même chose…— Je ne vais certainement pas te dire non ! Mais avec une petite modif…— Laquelle ? Pour toute réponse, je m’accroupis prestement, tirant sur sa jupe, la descendant jusqu’à ses pieds. Et avant qu’elle amorce un mouvement, j’en fais de même avec sa petite culotte. J’en profite pour embrasser son pubis dévoilé. Elle proteste mollement : — Tu me fais quoi ?— Je te prépare pour la suite…— Et c’est quoi la suite ? Je me redresse, je la serre contre moi, lui mettant une main à la fesse qu’elle a nue à présent, et me penchant sur elle, je dis : — J’ai envie d’un soixante-neuf, je veux goûter à ta chatte baveuse pendant que tu me fais une sucette d’enfer comme tu sais si bien les faire ! Et sans lui laisser placer un mot, je l’embrasse fougueusement ! Peu de temps après, ...