Handicap1
Datte: 16/01/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... maintenant à sa place._Merci beaucoup. Pour le buste, commence par les épaules, ça suffira peut-être.Stéphane s’exécute en posant ses mains sur ses épaules saillantes, qui ne semblent pas pouvoir supporter grand-chose, Elles sont presque jointes au cou, à tel point qu'il a peur de briser ses clavicules en les poussant. Il sent sous ses doigts une chaleur, qui à sa plus grande surprise le trouble. Ce n’est pourtant pas la première fois qu’il touche un corps féminin, mais la situation est embarrassante, puisqu'il n’a pas choisi de le toucher. S'il le fait, ce n'est pas par désir, mais par nécessité, comme pour aider un copain qui a le bras dans le plâtre, à enfiler sa veste. Mais ici, c’est son corps tout entier qui est immobilisé. Il pousse progressivement ses épaules, mais à l’évidence, son buste forme un « s » très prononcé, du moins davantage que sa scoliose naturelle._Merci, je te promets après c’est fini, il faut juste réaligner mes hanches et mes épaules.Le jeune homme défait la ceinture bouclée sur ses hanches justement, et place ses mains au niveau du bassin de la jeune femme.-Bien, passe tes mains sous le débardeur, sinon ça va faire des plis, et je vais avoir mal dans la journée.Ses mains glissent donc sous le débardeur, pour se retrouver à nouveau confronté à cette chaleur charnelle. Il manipule ce petit corps, l’observe, et le sens se redresser entre ses doigts. Une sensation de satisfaction l’envahit ; un peu comme celle qu’un mécanicien peut avoir en réglant un ...
... moteur ne tournant pas rond, et qui au fur et à mesure qu'il tourne la vis de réglage, constate que le ronronnement devient de plus en plus harmonieux. Il remonte ainsi ses mains étape par étape, jusqu’à ce que le bout de ses doigts rencontre comme un bourgeon de peau. Il termine son mouvement, et retire ses mains. La jeune femme a senti ce contact qui aurait pu la heurter, mais son corps ne lui appartient pas vraiment, même si il est parfaitement sensible ; mais nous y reviendrons plus tard. Elle ne juge donc pas nécessaire de considérer ce geste involontairement mal placé, auprès de Stéphane ; qui en est suffisamment, et visiblement gêné._Merci beaucoup-De rien, tu vas à quel étage ?-Deuxième-Je t’appelle l’ascenseur-Merci je veux bien-Stéphane, enchantée-MathildeStéphane grimpe les escaliers et appelle l’ascenseur avant de prendre le temps de regarder Mathilde qui gravit la rampe d’accès. Un premier constat s'impose à lui : une peau, est une peau. Les portes de la cage de fer s’ouvrent et se referment sur son pied, avant que Mathilde n'arrive. Au travers de la porte vitrée du hall, il voit une inscription : « Accueil rentrée des secondes et premières au deuxième étage ». Elle y entre en premier, il va pour appuyer sur le chiffre 2 du sélecteur d’étage, mais la place y est comptée, pour se faire il va devoir aller jusqu'à poser sa main sur la tête de Mathilde, afin d'asseoir un équilibre quelque peu précaire, laissant le champ libre à son autre main. Il pourrait maintenant ...