1. Trail en famille


    Datte: 16/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... tombe. Dans ce coin à cette saison, il gèle déjà pratiquement toutes les nuits. On c’est fait surprendre par la nuit avec le changement d’heure qui a eu lieu hier. Nous pressons le pas pour arriver au bivouac situé à coté d’un petit lac quand on s’aperçoit que Charles ne suit plus. On l’appelle mais il ne répond pas. Inquiètes nous rebroussons chemin et entendons ses appels au secours. Il se débat dans l’eau glacé, les sacs le tirent vers le fond. Julie lui dit de les larguer mais exténué il n’y arrive pas. Courageuse, elle plonge pour l’aider, lui retire sa charge et le ramène sur la rive. On les récupérera demain quand il fera jour. Il est si fatigué qu’il faut qu’on l’aide pour rejoindre notre bivouac où Annie a monté la seule tente qui nous reste. Le gros problème, c’est que nous manquons de pas mal de choses. Une seule tente pour quatre et deux sacs de couchage, sans compter les vivres et effets de rechange encore dans le lac. Julie qui grelotte elle aussi, nous explique que dans ce cas là, il n’y a qu’une source de chaleur qui peut les réchauffer, la chaleur humaine. Elle est assez grande et presque athlétique bien qu’un peu trop enveloppée. Elle adore porter des tenues moulantes qui mettent son corps en valeur d’une façon presque provocante. Elle déclare : -Il faut le déshabiller aussi, le frictionner et nous serrer dans les duvets. On a bien essayé de téléphoner pour avoir de l’aide mais nous sommes dans une zone blanche. Nous relions les deux sacs de couchage ...
    ... qu’il nous reste, Julie retire ses vêtements trempés avec difficulté pendant qu’Annie et moi nous occupons de Charles. Il est vraiment maigre comme un clou mais nous découvrons dans son caleçon une nouille de belle taille recroquevillée par le froid. Je me glisse dans le couchage en sous-vêtements, Charles et Julie se mettent au milieu complètement nus et Annie entre comme elle peu dans le peu de place qu’il lui reste. Nous sommes serrés comme sardines en boite. La nuit fût longue et peu confortable mais dans un demi-sommeil avant mon réveil, je sens quelque chose de dur contre mes fesses. Charles dort encore mais la nouille d’hier a changé de consistance. Comment sa verge a pu prendre une telle ampleur ? Je me rappelle d’une limace peut-être un peu plus grande que la moyenne mais ce qui se presse dans mon dos me parait un peu disproportionné en érection. Enfin, ce n’est peut-être qu’une impression. Son corps est chaud, même un peu fiévreux mais au moins notre solution a porté ses fruits. Nous nous levons les uns après les autres. Julie cache sa nudité avec des affaires qu’on lui prête. Charles ne la quitte pas des yeux, le petit vicelard. Quand il sort lui aussi du couchage, je constate que je ne m’étais pas trompée. Son pénis à un pouvoir d’érection peu commun. Il a presque doublé de longueur. Il essaie de cacher sa verge mais ses mains ne peuvent tout couvrir. Julie et Annie ont les yeux fixés au niveau de son sexe. Julie s’exclame : -Putain ! Le vilain petit canard s’est ...