La culotte
Datte: 16/01/2018,
Catégories:
fh,
grp,
Collègues / Travail
vacances,
voyage,
toilettes,
Oral
pénétratio,
double,
occasion,
Mon comité d’entreprise met à disposition des employés de la boîte, un chalet à la montagne. Rien de luxueux ! Un gîte avec six chambres et des espaces communs. Avec ma femme, nous avons besoin de prendre un peu l’air, de changer d’environnement. Nous souhaitons nous retrouver un peu sans les enfants. Pour un week-end en amoureux, il y a mieux qu’un gîte, entouré de collègues de travail ! Mais financièrement, on ne peut pas faire plus. Alors nous nous sommes dit que c’était ça ou rien ! Le matin du départ, nous sommes assez excités. Cela fait au moins quatre ans que nous n’étions pas partis. Les moments d’intimité se résument à un resto de temps en temps et une vingtaine de minutes entre le coucher des enfants et notre endormissement sur le canapé, épuisés. À peine dans la voiture, je sens une atmosphère différente. Isabelle a retrouvé son léger sourire qui illumine son visage. Malgré ses trente-huit ans, elle n’a aucune ride. Ses yeux légèrement étirés lui donnent toujours cet air coquin qui m’a fait succomber il y a bientôt dix ans. Après deux heures de route passées à discuter et à rire, j’ai l’impression que nous avons déjà retrouvé une complicité adolescente. À tant rire et s’agiter sur son siège, la jupe d’Isabelle a tendance à remonter. Cela fait longtemps qu’elle adopte un look un peu strict. Charmant, féminin, mais un peu strict avec jupe aux genoux. Mais là, elle ne fait rien pour éviter que ce morceau de tissu ne découvre ses jolies jambes fines. Est-ce qu’elle le ...
... fait exprès ? Je n’ose pas lui poser la question de peur qu’elle baisse le vêtement que j’espère voir encore monter. Une nouvelle secousse dévoile ce que je n’avais pas vu depuis bien longtemps ! Isabelle porte des bas ! Pour des questions pratiques, sa lingerie s’était standardisée : collant, culotte quelconque et soutien-gorge confortable. Elle a donc fait un effort pour moi, aujourd’hui ! Machinalement, ma main se pose sur son genou. Elle arrête de rire, pose sa main sur la mienne et me la remonte jusqu’au liseré du bas. J’accentue la pression de mes doigts sur sa peau. J’ai toujours aimé la fermeté de ses jambes. Je la caresse en laissant aller ma main vers l’intérieur des cuisses. Là où la peau est légèrement plus fine et surtout, plus douce. Subitement, elle me demande : — Tu te rappelles ? Au début on avait tendance à faire l’amour partout et tout le temps. Puis elle remonte encore un peu ma main pour atteindre la naissance de sa toison. Je rêve ! Elle n’a pas de culotte ! J’essaie de conduire, mais je commence à être un peu à l’étroit dans mon pantalon. Mon sexe essaie de trouver de la place pour s’étendre et grossir. Isabelle doit voir ma gêne. Elle pose sa main sur mon entrejambe et me susurre : — Je vais t’aider. Elle descend la fermeture Éclair, glisse sa main dans mon caleçon et me libère la bite. Tout en faisant un léger mouvement de va-et-vient, elle m’indique le panneau « Aire de repos à 800 m». — Tu crois qu’on est encore assez jeunes ? me demande-t-elle. Je ...