1. Deux cougars s'occupent du jeune mâle dominant. (3)


    Datte: 17/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... contrainte qu’il s’inflige augmente son plaisir, il me pénètre avec une infinie douceur pour ne pas me causer de douleur excessive et que je m’accoutume à la taille de son défonce-cul qui porte bien son nom. J’halète comme une chienne en chaleur avec de petits soupirs à chaque centimètre supplémentaire qui disparait dans mon fondement. Il me laisse quelques instants pour m’habituer. Je n’aurais jamais crû pouvoir supporter dans ma pastille un tel soc et pourrais-je en jouir ? Il se retire de mon anus pour que Christine le reprenne en bouche avant de revenir à l’assaut. Je suis hyper-concentrée sur la sensation d’avoir un tel engin dans mes boyaux, je dois avoir le trou du cul en chou-fleur, c’est sûr, mais avec étonnement le supporte mieux que je ne croyais. -Maintenant, tu vas payer pour m’avoir désobéit, me susurre-t-il à l’oreille. Il prend de ses deux mains ma jupe roulée en boule au niveau de ma taille et tel un cow-boy sur un pur-sang un jour de rodéo me pourfend sans plus aucune retenue. J’hurle comme une dingue, me retenant des deux mains au bord du matelas pour résister à ces ruades folles. Sa ...
    ... queue que je croyais plantée au plus profond de mon fondement vient de progresser encore d’une dizaine de centimètres. Je la sens dans mon ventre comme un énorme poignard qui déchire mes intestins à chaque fois que ses couilles s’écrasent contre mon pubis en claquant. Je ne suis plus qu’un jouet dont il use et abuse. Je ressens très bien son démonte-pneu aller et venir en moi, distendant plus que de raison mon petit cul si délicat comme jamais il ne l’a connu. Petit-à-petit, j’arrive à surmonter l’indicible douleur et sens monter en moi un fabuleux orgasme. Ce gros pieu au plus profond de mon fondement me submerge de sensations extraordinaires. - Pitié ! Arrête, je n’en peux plus, tu me tues, tu as gagné ! Il arrête enfin cette cavalcade effrénée et se retire de mon cul me laissant complètement exsangue sur le lit. Il est à coté de moi, sur le dos, sa respiration est sifflante mais sa formidable lance, toujours aussi vaillante, n’a toujours pas lâché sa liqueur. Christine, ne perdant pas le Nord, repasse aussitôt à l’attaque : -Détends-toi brave chevalier, laisse dame Christine s’occuper de ta lance ! (A suivre) 
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