1. La jupe d'écolière 1


    Datte: 17/01/2018, Catégories: Humour, Transexuels

    ... têtes, ce dont j’avais toujours rêvé. Bref, la journée comme je le disais fut longue et ennuyeuse, mais pas la soirée... oh que non!Laissez-moi vous raconter à quel point la vie de quelqu’un peut changer très rapidement. Il suffit parfois de deux coups de téléphone...Le premierDe retour chez moi a la fin de l’après-midi, dans mon loft au 4 e étage d’une ancienne usine situer dans le quartier pauvre de st Henry a Montréal, la première chose que je fis fut de me débarrasser de mes runnings, de mes bas filets, de mon slip, de ma camisole et de mon soutif a motif de crâne pour les jeter dans le panier a linge et de gardé juste ma jupe d’écolière. Je reste presque toujours nue chez moi, j’aime trop mon nouveau corps de fille. J’aime me voir, je m’excite moi même, c’est un peu comme ce symbole du serpent qui se mord la queue, l’Orobos; voir des filles nues m’excite donc, me voir nue m’excite, surtout mes nouveaux seins très naturels. Trop cool! Eh oui, je ne suis pas homosexuel, mais bi.Harasser par ma journée de marche abrutissante sous un soleil de plomb, j’avais mal au mollet et ne rêvait que d’un bon bain parfumé, j’empestais la sueur. J’ouvris la grande fenêtre qui donnait sur le canal Lachine pour laisser entré un peu d’air frais ce qui me chatouilla délicieusement les mamelons et les fit durcir. Je me les caresser en regardant au loin, quatre étages plus bas, la piste cyclable qui longeait le canal, une véritable autoroute a vélo, bondé par cette belle première journée ...
    ... d’été. Puis, j’ouvris ma mini-chaîne stéréo pour écouter du bon vieux Tangerin dream très relaxant. Ensuite j’allai a mon coin-cuisine et me prit une bonne bière glacée dans mon vieux frigo des années 60 peintes en verre lime avec des tas de photo de moi et de mon band heavy-métal et de selfies coller dessus avant de me laisser tomber, épuiser, dans mon gros fauteuil préférer en cuir vert élimer. Une antiquité que j’avais trouvée à côté du conteneur à déchet en bas dans le stationnement, comme presque tous mes meubles. Heureusement, il y avait un solide monte-charge ici. Le reste de mon mobilier provenait de marché à la puce ou de vente de bric-à-brac. Je rêvais de m’ouvrir un petit commerce de meuble usagé dans le coin, je mettais tout mon argent de coté pour ça, quoi que l’idée de me faire grossir les seins me trottait dans la tête aussi depuis un moment. J’aime bien être chanteuse, mais, ce n’est pas payant, en tout cas pour le moment, même si on a un gros fan-club qui remplit les bars où l’on se produit. J’ai un tas de fans qui me croit vraiment une fille et qui rêve de me baiser. C’est plutôt cool, non? Moi je trouve...J’adore mon loft industriel, je loue pour une bouchée de pain, car il n’y a pas beaucoup d’aménagement ici, le strict minimum. Rien à voir avec les lofts de luxe en face, de l’autre côté du canal. Dans cette ancienne usine il y en a douze et presque tous louer. Le mien est isoler tout en haut du vaste bâtiment, une ancienne salle de séchage de babioles en ...
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