1. Un Beau Mariage 02


    Datte: 19/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Chapitre 2 : La nuit de noce. Nous venions juste de laisser Marielle devant chez elle et Gisèle nous proposais de finir la nuit avec elle à notre hôtel... Que demander de plus le soir d'un si beau mariage, si bien commencé... L'hôtel était à deux rues de la maison de Marielle et nous y arrivâmes très vite. Comme c'était un petit hôtel d'une petite ville de province, il n'y avait pas de gardien. Non, la propriétaire nous avait donné la clé de la porte d'entrée et celles de nos chambres respectives à Georges et à moi. Elle savait que nous rentrions tard et nous avait dit qu'ainsi, ce serait plus commode... Donc de ce côté-là tout allait pour le mieux : Gisèle nous avait demandé la discrétion la plus absolue sur son escapade, relativement à la petite ville où elle était évidemment très connue,... et mariée! Nous sommes entrés dans bruit et avons monté l'escalier avec précaution. A 5h 30 du matin il fallait se faire le plus discret possible. En réalité, je crois que nous étions à peu près seuls dans l'hôtel... Nous entrons dans ma chambre. Si nous avons choisi la mienne, c'est qu'elle se trouve au bout du couloir et contigüe à celle de Georges, ainsi nous étions à peu près tranquilles concernant le bruit possible de nos ébats. Sans perdre de temps, malgré l'heure tardive (ou avancée!) et surtout malgré la fatigue de nos ébats passés, nous enlaçons la belle Gisèle, la prenant debout, entre nous deux. Ces instants où l'on sent le corps d'une femme enlacé par deux hommes ensembles, ...
    ... sont des moments particuliers et passablement érotiques! D'expérience, je savais que les femmes qui aiment l'amour apprécient tout particulièrement cette situation. Frottée, pelotée, embrassée, caressée, lutinée, par devant et par derrière en même temps, la femme se sent grisée, transportée, soulevée, envolée... C'est là une sensation forte à retrouver le plus souvent possible et à utiliser sans modération! Cette position devait plaire à Gisèle car nous l'avons tenue ainsi un long moment debout entre nous deux. J'étais devant, plaqué à son corps souple et chaud, une main passée sous sa robe et dans son string, lui caressant d'un doigt le clitoris et le haut de la fente, tantôt lui roulant des pelles profondes, tantôt lui embrassant les seins que Georges par derrière, lui soutenait d'une main... Derrière elle, Georges lui, la tenait embrassée dans ses bras, d'une main il lui pelotait les seins qu'il avait sortis du soutien gorge, de l'autre, passée sous sa robe et engagée dans le string, il lui caressait l'œillet. Il lui passait aussi sans doute un doigt dans le trou à baiser, car de temps à autres, ma main qui caressait le pubis et le clito de la belle, rencontrait celle de Georges. En alternance avec moi, il l'embrassait profondément lui aussi, quand elle renversait la tête et lorsque j'avais mes lèvres sur les siennes, il lui embrassait le cou, caresse qu'une femme adore lorsqu'elle est ainsi lutinée... Gisèle aimait l'amour, cela transpirait par toute sa peau et par tous ...
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