Ah, ces garnements !
Datte: 19/01/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
telnet,
Masturbation
Oral
... semaines. Le mec était vraiment trop tarte. Pire que Mathieu. Et c’était plus pour emmerder Mathieu qu’autre chose. Et puis tu sais, dans notre bled, des bonshommes bien et libres, y en pas des tonnes. Depuis, c’est le calme plat.— Tu n’as pas l’intention d’en partir de ton bled ?— Si, je pense avoir trouvé un job à Paris. Si tout va bien, je devrais commencer en novembre. Tant que ce n’est pas sûr, je ne dis rien aux parents, mais dès que c’est confirmé, je me cherche un studio ou une coloc pas trop chère.— Bon courage, ce n’est pas facile. La conversation se poursuit et ce n’est que tard qu’elle revient avec quelques paquets. Elle entre discrètement, Bernard devant être couché déjà. De fait, il n’y a plus de lumière qui filtre sous la porte de sa chambre. Le lendemain matin elle est réveillée par un urgent besoin : elle a beaucoup bu la veille au soir. En passant près de la porte de son hôte, elle l’entend parler. Elle pense qu’il l’a entendu se lever. Non. Il est au téléphone avec Bernadette. Il prend des nouvelles et dit qu’elle lui manque. Aurélie va aux toilettes. Quand elle repasse devant la porte, la conversation a pris une tout autre tournure. Le couple échange des propos, ma foi, beaucoup moins anodins. Elle s’arrête et écoute : Aurélie entend Bernard se lever. Elle rentre précipitamment dans sa chambre pour ne pas se faire surprendre à écouter aux portes. Elle reste songeuse : elle n’avait pas imaginé qu’à cet âge, on puisse avoir ce genre de conversations et, ...
... par voie de conséquence, visiblement les actions qui vont avec. Elle en vient à s’interroger si ses parents eux aussi pratiquent encore avec le même allant. Elle préfère abandonner ce genre de pensées un peu équivoques. Quand elle se lève, Bernard est sorti. Il est allé faire du vélo, son casque n’est plus là. En prenant son petit déjeuner, son esprit vagabonde. Elle se demande si lui, comme son épouse, se branle aussi. L’image de l’homme se masturbant s’invite dans son esprit. Elle l’imagine d’autant mieux qu’elle a vu son service trois-pièces et que dame nature à l’air de ne pas l’avoir oublié à ce point de vue. Il est même mieux pourvu que Mathieu. Quand Bernard rentre, c’est avec un autre regard qu’elle le regarde : l’image de son sexe lui occupe l’esprit. Elle s’efforce de la chasser avec plus ou moins de succès. Après le repas, il se remet au classement de ses collections, tandis qu’elle s’installe pour lire un livre, n’ayant pas le courage d’aller se jeter dans la fournaise, d’autant que les magasins sont pour beaucoup fermés. Cela lui fait penser à ses achats de la veille : — Bernard, excusez-moi de vous déranger.— Oui ?— J’aimerais avoir votre avis sur mes emplettes d’hier.— Si tu veux. Et qu’as-tu acheté ?— Je vais vous faire voir, je reviens dans deux minutes. Elle s’éclipse dans sa chambre pour revêtir une robe pour laquelle elle a flashé. Après hésitation, elle retire son soutien-gorge avant de l’enfiler. Elle se regarde dans le miroir et ne se reconnaît pas, elle ...