Patricia
Datte: 19/01/2018,
Catégories:
Sexe Interracial,
... Nouredine, Momo, et Aziz entamaient une discussion. Seul dans son coin, Abdoul avachit sur sa chaise tirait consciencieusement sur son pétard. Derrière la fumée qui occultait son visage, on pouvait percevoir ses yeux rétrécis qui regardaient Patricia sans ciller. Celle-ci se sentait de plus en plus nerveuse, elle rassemblait ses affaires dans son sac, s'apprêtant à partir, mais aussi attendant la proposition de Abdoul. Mais celui-ci ne bougeait pas dans le fond de la salle. Patricia lui jetait des regards furtifs, de plus en plus nerveuse. Rien ne vint, elle quitta donc les Bosquets sans avoir eu sa fumée si décontractante et rentra chez elle d'une humeur de chien. Cette fois Léandre eut droit à un visage fermé. Il ne comprenait pas cette saute d'humeur de sa femme, et quand le soir au lit il sollicita d'elle la petite gâterie qu'elle lui avait prodigué avant-veille, elle lui tourna le dos sans lui souhaiter le bonsoir. Patricia fut d'une humeur massacrante les deux jours qui suivirent, elle tournait en rond comme une lionne en cage, ne trouvant pas la force de faire quoi que ce soit. Plusieurs fois, elle faillit succomber à la tentation de prendre sa voiture et de filer aux Bosquets pour solliciter Abdoul. Finalement elle n'en fit rien mais cela lui couta une partie de ses ongles. Il lui tardait de retourner dans la cité, elle comptait les heures et quand vint le moment, elle partit avec une demie heure d'avance. Sur le parking il n'y avait encore personne. Elle rongeait son ...
... frein dans sa voiture lorsque qu'elle sentit que quelqu'un s'approchait. Elle tourna la tête et vit Abdoul venir vers elle. Il souriait de toutes ses dents qui barraient son visage d'un blanc contrastant avec sa peau. Il se pencha à la vitre au coté de Patricia. « Vous êtes en avance m'dame! » Patricia remua nerveusement sur son siège. « Oui, heu...j'avais un peu de temps devant moi, alors je me suis dit... » « Bien sur bien sur m'dame » Son sourire s'accentua et ses yeux brillants se rétrécirent. Il contemplait Patricia assise derrière son volant. Elle portait une jupe qui lui dévoilait les genoux. Elle n'avait pas réfléchit à sa tenue avant de partir tant l'obsession de la fumée la tenait, aussi se présentait elle aux Bosquets en jupe et corsage. Elle n'était pas sure du tout que le corsage qu'elle avait enfilé le matin fut assez opaque pour cacher son soutien gorge en dessous. Elle repoussa cette idée, fixant son attention sur Abdoul, allait il lui offrir une petite fumette à la fin de son cour? De son coté Abdoul sentit bien la lutte qui taraudait les sens de Patricia. « Parfait, parfait, pensa-t-il, la bourgeoise est presque accro à ma beuh, dans peu de temps elle se trainera à mes pieds sur tirer une taffe, bonne nouvelle! » Quand tout le monde fut la, Patricia commença son cour, sans doute moins enthousiaste que la fois précédente, plus nerveuse, plus cassante aussi ce qui fit lever vers elle des yeux étonnés. Dans le fond de la salle, Abdoul feignait une indifférence ...