1. Patricia


    Datte: 19/01/2018, Catégories: Sexe Interracial,

    ... Suce! » Tétanisée elle ne bougea pas, elle était incapable de la moindre réaction tant le mélange de sentiments qui la traversaient étaient contradictoires, un mélange où la peur prenait une place de plus en plus grande. « Suce! » Répéta-t-il, et devant son immobilisme, il posa sa main droite sur la nuque de Patricia, il la fit se pencher en avant, tant et si bien que son nez touchait maintenant le gland devant elle comme une grosse barre de réglisse. Une grosse barre de réglisse, c'est l'idée qui lui traversa la tête en voyant le membre se rapprocher de sa bouche. La main gauche d'Abdoul tenait son sexe, il le guida sur les lèvres de Patricia et le frotta doucement. Il sentit les tremblements de la femme et il voulut la rassurer. « T'inquiète m'dame, tu me suces et je te donne le joint, mais faut sucer d'abord, vas y prends moi la bite! » Tout ce message délivré d'une voix douce, presque chuchotée, sans aucune trace de menace, atténua les tremblements de Patricia. Abdoul lui maintenait la bouche à la hauteur de son gland, elle sentait la main ferme qui lui tenait la nuque et elle avait déjà sur les lèvres le gout épicé de la liqueur qui suintait du gland. Alors, Patricia ferma les yeux, oubliant où elle se trouvait, elle ouvrit les lèvres. Aussitôt le gland se glissa dans sa bouche qui fut pleine soudain le la chair chaude et douce. Abdoul lâcha un long soupir, il accentua la pression sur la nuque de Patricia et celle-ci fut obligée d'ouvrir plus largement pour le ...
    ... prendre sans s'étouffer. « Fais attention avec tes dents m'dame! Prends la bien au fond, caresse avec ta langue et tes lèvres. Va y! » Sans trop réfléchir à sa situation, Patricia obéit aux injonctions d'Abdoul et elle le prit en bouche de façon plus confortable à la fois pour elle et pour lui. Quand ils eurent trouver le bon positionnement, Abdoul imprima à ses reins un petit va et vient que Patricia accompagna de ses lèvres, elle sentit coulisser le gros sexe sur sa langue. La main sur la nuque imprima une cadence d'allers et venues, ni trop lents ni trop rapides, ni trop profonds ni trop timides, un rythme qui convenait à la fois à la suceuse et au sucé. Abdoul accompagnait ses coups de reins d'encouragements, toujours chuchotés, toujours sur le même ton rassurant qui enivrait Patricia. Elle y prit gout, ce sexe était une révélation pour elle qui avait toujours pensé que son mari était fortement membré. Elle découvrait ce soir qu'elle était loin du compte et qu'Abdoul avait une bite du double du volume qu'elle prenait habituellement en bouche. Cela l'exalta, fit travailler son imagination et c'est avec zèle qu'elle se mit à pomper le sombre sexe de l'ado qui sentait venir du fond de ses couilles la jouissance qui n'allait pas tarder à l'emporter. Il ne se retint pas, il aspira une forte goulée d'air et tressaillit sous la force de sa jouissance. Un cri s'échappa de ses lèvres, il tendit ses reins crispés et raffermit sa main sur la nuque de Patricia, les saccades laiteuses ...
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