Divine offrande
Datte: 19/01/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
couple,
inconnu,
religion,
grossexe,
hépilé,
fépilée,
amour,
intermast,
pénétratio,
init,
confession,
... voudrais qu’il me tète les seins et c’est comme s’il l’avait entendu car sa bouche s’empare de ma poitrine et me suce un téton puis l’autre, sans interrompre la délicieuse torture qu’il m’inflige plus bas. Angèle n’est plus à côté de moi, elle est derrière Charles et lui caresse la bite, il a l’air d’aimer ça. Alors elle appuie sur ses reins et positionne l’énorme gland sur ma chatte dégoulinante pour masturber mon berlingot, sans que mon amoureux n’ait cessé de fouiller mon vagin et je crois que je vais partir. La pression est différente, je comprends qu’Angèle veut faire entrer en moi le sexe de Charles. Son nœud est à présent pressé à l’entrée de mon con. — Il est trop gros, il va me déchirer ! Je tente de me refuser, mais mon corps est aux commandes, et de lui-même mon bassin s’avance vers le gourdin qui s’introduit centimètre par centimètre. J’avais raison, une douleur fulgurante me vrille le ventre, mais Charles, sous la poussée des mains d’Angèle, toujours souriante, poursuit son envahissement. Il entre toute la longueur et commence à ressortir, un petit filet de sang s’échappe de mon sexe meurtri. Déjà il replonge en moi, et miracle ! La douleur s’estompe, remplacée par une nouvelle langueur. Je me sens parfaitement remplie par la masse de chair qui se fraie un chemin dans le tunnel soyeux et étroit de mon con. Je mouille abondamment, et contemple le marteau qui me pilonne maintenant avec ardeur, toujours plus luisant à chaque fois qu’il ressort. Je sais que je ...
... gueule, Charles est tout rouge et en sueur, le visage crispé, il s’affaire à bien ramoner mon petit conduit — Tu es si bonne ! C’est les tropiques là-dedans ! J’avais presque oublié Angèle mais notre Officiante nous encourage, je la vois saisir les couilles de mon pistonneur adoré et les malaxer. Il accélère le rythme. Je ne suis plus qu’une chatte détrempée, écartelée par un boutoir de soie. Je ne suis plus que ma vulve, qui aspire, avide, le dard qui la transperce de plaisir. Sans cesser de s’occuper de mon compagnon, Angèle pousse délicatement mon clitoris qui a presque doublé de volume, et nous jouissons de concert. Un long cri s’échappe de moi, une transe divine m’agite, tous mes muscles se resserrent autour de la queue qui au plus profond de moi déverse ses flots d’ambroisie. Nous sommes encore agités de tremblements et de spasmes de plaisir qu’Angèle, bien cambrée, les jambes bien écartées, nous présente ses fesses et sa chatte. Des coulées de cyprine ruissellent le long de ses cuisses musclées. Je suis la plus rapide et je lance mes doigts profondément en elle, je les agite sur un rythme frénétique. Elle dégage un parfum suave et salé qui me fait penser à l’océan, sa chair est d’une inimaginable douceur. Je veux qu’elle crie, qu’elle jouisse aussi fort que moi à l’instant, mon autre main va donc se perdre dans son buisson dru et pince fort le noyau de chair qui s’y cache. Charles, ne voulant pas être en reste, a introduit un doigt sans difficulté dans le petit trou fripé, ...