April 2 - Histoires de Sexe

April 2

... pour attendre... » Comme moi tout à l’heure, Scott prit le parti d’en rire, mais je ne fus pas sûr que ce soit une bonne idée… à mon avis, il avait beaucoup à craindre de la revanche d’April. En attendant, Scott entreprit de faire un cuni à April. J’avais entendu dire qu’il était très doué dans ce domaine, et il le prouva. Dés que sa langue entra en action, April se raidit, et se retint de gémir. Quand Scott accéléra un peu le rythme, la belle blonde ne put se contenir plus longtemps, et se mit à gémir, doucement d’abord, puis de plus en plus fort. Scott faisait tourbillonner sa langue de plus en plus vite sur l’intimité de April, la faisant gémir, mais aussi se tortiller dans tous les sens, visiblement en proie à quelque chose de très très intense. Je vis qu’elle approchait progressivement de l’orgasme, aussi je lançai à Scott : « Eh, arrête toi là ! » Surpris il leva la tête, aussitôt April cria, d’une voix où l’on sentait percer la frustration : « Qu’est-ce que tu fous ? T’arrête pas ! » « Tu vois pourquoi je te dis de t’arrêter ? dis-je avec un sourire. Elle est à ta merci, profites en pour l’obliger à te supplier. » Scott eut un sourire coquin, et lança à April : « T’entends ça ? Allez supplie moi si tu veux que je continue. » « Tu rêves ! répliqua April. Jamais je te supplierai. » Scott se mit alors à la doigter doucement, April gémit, mais on sentait surtout de la frustration en elle. Il fit durer ce supplice un bon moment, et April capitula : « Ok ! Je t’en supplie, ...

... fais moi jouir avec ta langue, Scott, vas-y je t’en supplie ! » Scott se remit alors à l’ouvrage. Sa langue se remit en action, et April reprit aussitôt ses gémissements incontrôlés. Elle se démenait de plus en plus, criait, se tortillait, vibrait… on approchait de toute évidence de l’orgasme. Scott accéléra le rythme, et April eut un magnifique orgasme, qui la fit se secouer pendant de longues secondes. Scott, se redressa, visiblement fier de lui. Il se préparait à passer à la suite, mais ses plans furent contrariés. Il ne s’était pas rendu compte, et moi non plus, que April s’était beaucoup débattue quand nous l’avions baisée. Elle s’était tellement agitée, que ses liens s’étaient distendus. A présent, April put se libérer d’un coup. Elle saisit Scott par les épaules, et le plaqua contre le matelas, avant de s’empaler sur sa queue. Tout ça si vite, que ni lui ni moi, ne pûmes réagir. Elle commença alors à le baiser en andromaque, allant et venant sur lui à un rythme effréné, le culbutant contre le matelas comme une folle. Scott tenta bien de se débattre, de reprendre le dessus, mais April lui saisit les poignets, et les plaqua contre le matelas, au-dessus de sa tête, le tenant immobile. Elle se mit à le baiser de plus en plus férocement, le toisant d’un air dominateur, ravie d’avoir sa revanche. J’aurais peut être dû aller au secours de Scott, mais j’aimais tellement admirer April en pleine action : voir ses hanches se déchaîner, ses gros seins se secouer, et la voir agiter ...