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Un massage érotisant
Datte: 20/01/2018, Catégories: fh, médical, massage, intermast,
... bleus dans lesquels je décèle toute sa douceur, son intelligence, sa gentillesse. Je lui demande de se dévêtir ce qu’elle fait avec grâce et sans chichi. Elle coulisse la fermeture éclair au dos de sa robe et laisse glisser le tissu le long de son corps. Le soleil d’été a noirci son épiderme et la parure de sous-vêtements rouges qu’elle porte en dessous tranche sur sa peau mate. Elle m’interroge d’un regard « faut-il enlever le reste ? ». Je lui réponds, avec un signe de tête affirmatif, de n’ôter que son soutien-gorge pour le moment. Elle dégrafe l’attache et me dévoile des petits seins blancs au galbe plaisant relevé au bout d’une aréole pigmentée et très brune dont les tétons saillent et pointent avec force. J’en avale ma salive de travers : cette nana est une bombe super bien faite ……… Je lui fais faire quelques aller-retour dans cette pièce histoire d’évaluer au mieux ses problèmes. Lorsqu’elle déambule ainsi dévêtue, j’envisage le sens dans lequel je dois agir pour la soulager. Je l’observe d’un œil très professionnel : je dois absolument faire du bon travail avec elle, afin de la compter parmi mes clientes. Son élégance et son charme naturel opèrent en moi, sa taille fine et souple, ses hanches qui ondulent, le tressautement de ses seins libres provoquent de l’émoi dans mes entrailles. Lorsque j’ai défini mon plan de bataille, je lui demande de s’allonger sur ma table de travail. Elle prend place pendant que j’envoie un fond sonore jazzy et ouaté. Je vais d’abord ...
... m’occuper de son torticolis. Je lui mets un petit coussin sous la tête. Je me place derrière elle et soulève sa nuque de mes deux mains avec infiniment de douceur. J’étire lentement et longuement ses cervicales tout en lui caressant la peau de mes doigts dessous et derrière les oreilles. Je la sens se relâcher, ses yeux se ferment, ses membres se détendent et seul nos souffles conjugués accompagnent la musique de fond. Je puise ma concentration dans la contemplation de ses seins assoupis. L’aréole aussi s’est relâchée et a perdu de sa superbe provocation. Un moment, je crois qu’elle s’est endormie tant son corps s’est affaissé, la confiance est installée. Je lui masse ensuite soigneusement le cuir chevelu et le front. Elle s’est abandonnée, elle m’a oublié, focalisée sur ses sensations.. Doucement, je me lève et saisi son bras gauche. J’en fais jouer l’articulation en lui maintenant l’épaule fermement. Ce faisant, ma main dérape un peu du côté de son sein dont j’effleure le bout avec délicatesse. Effet immédiat, la pointe s’élève à nouveau vaillamment vers moi comme une bravade. J’opère de l’autre côté tout pareillement puis travaille sur son thorax par pressions et massages successifs sur le sternum les côtes et les clavicules. Ma patiente a une petite chair de poule, un léger frisson qui dresse le duvet soyeux de son ventre et qui témoigne de sa muette réaction. Penché sur elle je respire l’odeur appétissante de son savon. Je lui masse ensuite longuement les intestins qui ...