1. Une femme pour deux. Épisode 2


    Datte: 20/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Première fois

    ... souffle sortit la bite de sa bouche où elle paraissait bien profonde et me dit tout à trac : « Encule-moi ! »Franchement je ne pensais pas le faire à ce moment, ni même dans cette soirée mais si c’est elle qui demande, alors là, ce n’est pas pareil. Je sortais donc complètement ma queue de sa chatte luisante et grande ouverte et descendais d’un étage. Je présentais mon gland à l’entrée de son cul lui aussi trempé par les secrétions vaginales et d’une légère poussée, il fut avalé sans résistance. J’attendais quelques secondes de plus et m’enfonçais entièrement dans son fondement. Aussitôt je reprenais mes va-et-vient dans son cul serré et elle suçait de plus belle un François apoplexique.Je n’ai jamais résisté bien longtemps dans son cul et de fait j’éjaculais de longs jets de foutre en m’enfonçant au plus profond de ses entrailles. Après un dernier spasme, je m’écroulais à côté d’elle en déculant. (je ne sais pas si ça se dit déculer ?)Aussitôt ma femme délaissa la bite de François et se retourna vers moi en m’enlaçant.« C’était super bon chéri. J’ai aimé sucer sa bite en même temps. C’était excitant au possible »« Je suis heureux que tu ais aimé mon amour. Je ne souhaite que ton plaisir. »Pendant qu’on était serré et qu’on se susurrait à l’oreille, François a attrapé un préservatif sur la table de nuit, c’est allongé derrière ma femme et a repris ses caresses. Une main est venue entre nous et c’est saisi d’un sein. Une jambe est montée sur celles de ma femme et il a ...
    ... commencé à l’embrasser dans le cou, sur les épaules. Puis la main a quitté le sein et en descendant sur le flanc est arrivée sur les fesses.Tout ça, en fait je ne le voyais pas vraiment. Toujours enlacé, prisonnier pourrais-je dire même des bras de ma femme, c’est elle qui, à mon oreille me disait à voix basse ce qu’il lui faisait.« Chéri, il m’écarte les fesses »« Il me doigte. »« Il a mis deux doigts dans ma chatte. Je sens que je mouille de nouveau »« Je crois bien que c’est son pouce que j’ai dans l’anus aussi. »« Je sens bien sa queue sur mes fesses, elle est grosse et dure. »« Chéri ! Je crois bien que je sens son gland à l’entrée de ma chatte. »« Chéri ça y est, ça rentre. Tu es content, c’est ce que tu voulais ? »« Je veux que tu es du plaisir et que nous le partagions. C’est le cas ? »« Oui. C’est bon, ça y est il l’a entrée entièrement. »« Tu aimes ? »« Oui, j’adore être dans tes bras et qu’il me baise. Et toi tu aimes ? »« Oui puisque tu aimes. »François c’est déchaîné en va-et-vient profonds dans la chatte trempée qu’il possédait. Je me doute qu’il devait attendre ce moment avec impatience d’ailleurs depuis le temps qu’il bandait lui aussi. Ma femme c’était remis à gémir. Sa respiration devenait de nouveau saccadée. François lui tenait les hanches. Puis tous les deux, sans doute sous l’impulsion de François se relevèrent et c’est en position de levrette qu’il continua sa besogne. Ma femme la tête enfouie dans l’oreiller, les seins oscillant sous elle au rythme des coups ...