Marie retrouve Georges, un vieux pas si vieux que ça (1)
Datte: 21/01/2018,
Catégories:
Erotique,
... à Léa (ma fille) je lui ai prêté ma voiture ce week-end. Et ben dis donc, ta fille se balade sans culotte, c’est du joli. En tous cas, elle à bon goût, très jolie cette dentelle. Tu mets les mêmes ? Oh, arrêtes ! Il a sorti les cigarettes. Tu en veux une ? Oui, volontiers arrivais-je à articuler. Il m’a présenté une cigarette devant les lèvres puis s’en est prise une. Sortant son briquet, il l’a présenter devant ma cigarette, mais l’a laissé échapper. Le briquet est tombé juste entre mes cuisses ou il a plongé la main. Elle était chaude... Hummmmm, mon ventre s’est contracté une nouvelle fois, je mouillais encore plus. Instinctivement, j’ai serré mes cuisses, emprisonnant sa main. Arrête, tu vois bien que je conduit, on va avoir un accident ! Pourvu qu’il ne remonte pas sa main, pensais je . Il allait savoir que je ne portais pas de culotte et que j’étais toute mouillée. Arrête, dis je encore une fois, enlève ta main ! Je veut bien, mais c’est toi qui m’emprisonne, libère moi, dit-il. Tu l’enlèveras, c’est sûr ? Ben oui ! J’ai desserré légèrement les cuisses et il a retiré sa main. Cette caresse furtive sur mes cuisses m’avait mise dans tous mes états, mes seins étaient gonflés au point d’en être douloureux, mon ventre dur, et ma petite fente coulait comme une fontaine. J’étais dans une espèce de brouillard, je ne savais plus trop ce que je faisais. Enfin, j’ai garé la voiture, coupé le contact. Ah, mais c’est toi qui fait le café s’exclama t-il ! J’ai réalisé à ce moment ...
... que nous étions garés devant chez moi ! Il est aussitôt sorti de la voiture. Je n’avais plus le choix, je l’ai suivi. J’essayais de reprendre mes esprits, imaginant ce qu-il devait penser. J’ai mis la clef dans la serrure. Il était là, juste derrière moi, et sa présence augmentait mon trouble. J’imaginais son sexe en érection, tout près de mes fesses, juste séparé par deux bouts de tissus... Ma peau se hérissait... "Sussucre" est venu nous faire la fête, je l’ai laissé dans la cour et, refermant la porte , me suis dirigée vers le salon. Bon, tu t’assieds là, dis en montrant le canapé, je vais faire le café. En marchand vers la cuisine, mes jambes tremblaient... Mais, ou avais je mis ce café ? J’ouvrais les placards, les refermais . Ha, il est là ! Et la cafetière ? La voici enfin ! J’étais perdue dans ma propre maison !! Comme je dosais le café, j’ai senti sur mes fesses ses mains chaudes . Elles sont toujours aussi jolies, et puis je vois que tu as fini par comprendre que tes culottes faisaient des vilaines marques sous tes jupes . Tu mets des strings maintenant ? Il a déposé un tendre baiser dans mon cou. C’en était trop ! Je me suis retournée, posé mes bras autours de son cou et ma bouche sur sa bouche pour un long baiser à en perdre le souffle. Ses mains couraient sur mes flancs, sur mon dos, sur mes reins. Mon ventre plaqué contre le sien, je sentais son désir, sa longue tige bien dure. C’était booonnnnn ! Les yeux fermés, je goûtais ce baiser passionné qu’il attendait ...