Pour le meilleur ou... (2)
Datte: 21/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... a un peu de ça. Je sais que sur le papier cette idée ne te rebute pas, je crois même que je peux imaginer ce qui se passe en toi en ce moment. — Oui, je ne peux pas le nier... Vous n’avez encore rien fait ? — Non. Elle est devant moi, elle t’entend et elle ne perd pas une miette de notre conversation. — En tout cas merci de m’en parler avant, merci de m’impliquer. Emilie, tu crois que... que ce qui se passe ce soir pourrait déboucher sur autre chose, une autre fois ? — Tu veux dire avec toi ? — Oui. Evidemment. Avec moi ou devant moi. Pour être très honnête je n’ai pas pour habitude de fantasmer sexuellement sur mes amies, je m’y refuse, mais je mentirais en prétendant que ça ne m’est pas arrivé deux ou trois fois de penser à toi dans des situations disons... pas très avouables. La jeune femme sentait des bouffées de chaleur l’envahir: elle avait peut-être un peu menti en avouant à Hélène n’avoir fantasmé que deux ou trois fois sur son mari. Ça lui était arrivé bien plus souvent... En vérité, elle avait déjà fantasmé plusieurs fois sur un plan à trois avec eux. — Je n’ai aucun droit sur Hélène et je n’ai rien à exiger... mais c’est une torture d’imaginer ce que vous allez faire tandis que je suis coincé ici. Tu peux atténuer ça en me donnant un mince espoir Emilie, promets-moi au moins d’y réfléchir ! ─... — Qu’en penses-tu ? — Heu... J’essaie d’assimiler tout ce que je viens d’entendre... — Je ne veux pas te forcer la main et je ne veux surtout pas que tu te sentes ...
... obligée. Je ne vous reprocherai pas de faire ce que vous avez envie de faire. Mais j’aimerais vraiment que tu envisages sérieusement cette possibilité, que tu essaies de me voir autrement. Tu sais je pourrais peut-être te surprendre... — Je confirme Emilie. Je crois que tu pourrais apprécier. Hélène souriait, elle était plus à l’aise depuis qu’Arthur menait cette conversation. Spectatrice amusée des hésitations de son amie, spectatrice excitée par la tournure des événements dont l’issue ne faisait désormais plus guère de doute. Elle aussi avait ôté son pull. N’y tenant plus, elle avait glissé sa main dans son jean, main que son amie fixait avec attention. Emilie finit par lui prendre le téléphone. — Je suis une grande fille Arthur, et si je prends le temps de réfléchir c’est bien parce que je suis prête à tout envisager. C’est vrai que... quand on se voyait beaucoup, que je n’étais pas célibataire, après les nombreuses soirées arrosées que nous avons passées tous les quatre... C’est vrai qu’il m’est arrivé, quelques fois. Bon peut-être un peu plus que quelques fois, d’imaginer un dénouement différent que le classique "chacun rentre chez soi..." — Vas-y, sois précise... Hélène ne faisait même plus semblant de se masturber, elle n’avait qu’une envie: sauter sur Emilie ! — Eh bien parfois j’ai fantasmé sur le fait que les garçons partent pour une autre soirée je ne sais où... Et que je finisse seule avec toi Hélène. D’autres fois c’était avec toi Arthur, et que nous finissions par ...