Le samedi - Histoires de Sexe

Le samedi

... plaisir la prend. Elle se laisse aller contre mon épaule Je ne crois qu’elle voit grand-chose de la fin du film. Quand le mot fin disparaît de l’écran, je dépose ma chérie, dont les jambes ont l’air un peu molles, et me lève pour éteindre le vidéo projecteur et allumer la lumière. Mon sexe tendu à me faire mal à l’air de jaillir de mon t’shirt. Je reviens m’asseoir près de ma chérie. Valérie qui est descendue de sa monture applaudit : — « Pfou ! Vous avez fait fort. Il y a des scènes Holà là. La séance de l’enculage au bureau. On se demande si … »— « Nadette a été si convaincante que moi-même, malgré la préparation préalable du terrain, j’ai cru que je lui faisais mal… »— « Et celle avec le vase. La transparence, ça donne des effets… heu, intéressants. Et j’ai bien aimé aussi le côté décalé à certains moments, avec des conversations mondaines ou professionnelles, complètement déphasé avec ce que ce qui se passe à l’écran. » enchaîne Renaud— « Et la fessée » l’interrompt Valérie « Comment avez-vous fait pour qu’elle fasse si vraie ? »— « C’est qu’elle était vrai » dis-je et de leur conter la petite incompréhension entre nous deux. Chacun attendant de l’autre le signal de l’arrêt. L’histoire du retour à la maison et du dîner chez Maman, les amuse, de même que la description par Nadette de sa journée du lendemain au bureau. Elle explique touts les stratagèmes qu’elle a déployés pour que son postérieur soit le moins possible posé sur un siège. Elle conclut son récit par ces mots ...

... définitifs :— « Je suis comme maître corbeau, je jure mais un peu tard que l’on ne m’y prendra plus. »— « La fin du film, dans la chambre du patron est aussi un grand moment. » dit Valérie « Au fait vous avez oublié de mentionner d’importants participants au générique. »— « Qui donc ? » demandons Nadette et moi en cœur.— « Ben. Le rouleau à pâtisserie, le vase, le pilon. »— « C’est vrai qu’ils occupent une certaine place dans le film. » répond Nadette— « Je dirais même qu’ils occupent certaines places dans le film. Allez ! Je vais même te les présenter. » et je m’éclipse vers la cuisine. En revenant j’entends Valérie dire :— « Et te fais-tu mettre souvent la main ? »— « Non depuis Pithiviers, une seule fois, pour le tournage. Et toi, as-tu récidivé ? »— « Avec la maladie de Renaud, on n’en a guère eu l’occasion. Et puis j’avais trouvé que c’était un peu dur à avaler. Je n’ai pas beaucoup poussé à la roue.— « Ha bon ! » répond Nadette avec un air d’avoir deux airs. »— « Voilà les instruments. » dis-je en brandissant le rouleau à pâtisserie et le pilon « Le vase est resté au bureau. »— « Donnent-les à Valérie. Je suis sûre que ça l’intéresse de les prendre en main. »— « Peut-être pas seulement en main. » ajoutais-je sentencieusement en les lui tendant. Elle les prend sans faire de commentaires pour les regarder de plus près. Renaud l’encourage : — « Vas-y. » Elle hésite à peine. Elle s’assoit les fesses au ras du bord du clic-clac, que je viens d’ouvrir, et écarte les cuisses. ...