1. Aurélie 4


    Datte: 22/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Pendant que je m’activais dans le salon, j’entendais ma maîtresse aller et venir dans sa chambre. Elle attendit que j’ai fini de passer l’aspirateur avant de m’appeler. La clochette résonna et je me pressais de me rendre auprès d’elle.- A vos ordres, maîtresse.- Viens me laver et m’habiller. Je dois sortir.- Bien maîtresse.Une nouvelle fois, j’eus sous les yeux le corps magnifique de ma maîtresse. Une fois qu’elle fut nue, elle se dirigea vers la salle de bain et je la suivis. Devant moi, je voyais ses fesses bouger, des globes qui attiraient mon regard et mes mains. Pourtant je sus me retenir. Nul doute qu’elle m’aurait fouettée, si d’aventure je l’avais touchée sans sa permission. Je fis couler l’eau et la réglai à la bonne température.- Maîtresse, votre douche est prête.- C’est bien. Va dans la chambre et sort mon ensemble lingerie rose, le shorty et le balconnet, des bas dim-up et ma robe rose à bretelles.- Bien maîtresse.je me rendis dans la pièce et sortit de la commode les sous-vêtements demandés. J’ouvris ensuite la penderie et sortit la robe. Puis j’attendis le bon vouloir de ma maîtresse. J’entendais l’eau de la douche couler et j’imaginais que je la lavais, faisant glisser mes mains sur ce corps que je vénérais désormais. Sa voix impérieuse me tira de ma rêverie.- Cybèle, viens m’essuyer. Dépêche-toi.- J’arrive, maîtresse.Je m’emparai de la serviette et la tendis devant moi, afin de l’accueillir et de la sécher. Je frottai doucement ses membres, son dos, et je ...
    ... tremblai lorsqu’il fallut passer à ses seins, ses fesses et son sexe. Avoir tous ses appâts si près de moi me rendait folle de désir. Pourtant, je savais ne pas devoir les caresser sous peine de punition. Lorsqu’elle jugea que je l’avais suffisamment séchée, elle sortit de la salle de bain. Posant la serviette, je la suivis et lui présentai le shorty en m’agenouillant devant elle. J’avais au niveau de mes yeux sa chatte glabre, bien dessinée, aux lèvres ourlées (La mienne ressemblait plutôt à un simple trait de crayon entre mes cuisses). Lorsqu’elle leva la jambe pour passer le vêtement, ses lèvres s’ouvrirent et je faillis me laisser aller. Je me retins de justesse. Je fis glisser le sous-vêtement sur ses cuisses et l’ajustai sur ses hanches et ses fesses. J’agrafai ensuite le soutien-gorge, passant mes doigts sous les bonnets pour bien mettre en place les mamelons. Véronique s’assit sur le lit et me tendit son pied. Je fis glisser le premier bas, le tendant sur la jambe. A chaque instant, la tentation était forte d’embrasser ses pieds, remonter le long de la jambe et se perdre dans la fourche de ses jambes. Pourtant je savais que toute initiative de ce genre me vaudrait une punition. En passant l’autre bas, je ne pus m’empêcher de caresser la jambe sur toute la longueur, à travers le tissu. Cela me valut un regard moqueur de la part de Véronique, qui m’intima :- Mets-moi mes chaussures. Mes escarpins assortis, dépêche-toi.Je me précipitai dans le dressing et revint avec les ...
«1234...»