La blonde devasse de la jet-set - Histoires de Sexe

La blonde devasse de la jet-set

... pouvait faire du bronzage intégral. Carol est une femme magnifique. Il va deposé 160 millions de dollars dans um banque HSBC au Panama. Il besoin ouvrir nouveaux marchés.
          Elle adopta une posture séductrice en réponse à ses désirs naissants.  Carol essayait, surtout quand elle voyait que son homme les observait, de se comporter comme une vraie allumeuse. Alors elle l´invite d aller à une célèbre boîte de nuit appelée Bahama´s,  dans un club qu’elle a l’habitude de fréquenter. 

           - Si tu veux, je te ramène.
           - Tu es sûr que cela ne te dérange pas?
           -  Certain. Je veux te bouffer, ma chérie.
           -  Rien ne me ferait plus plaisir.

      Une boîte de nuit au style de le Studio 54 decade 80 à New York. Plusieurs femmes em trobes longues au soir avec decotes profondes devant et derrière. Attire une clientelle classique, acteurs pornô, prostitu´´ees ou tout est permis. Faire sexe, user drogues, tout discretement dans lês personnages extravagants, l´argent s´afiiche sans complexe, tout lês goûts entremmèlent aux chabdelles et dês parures clinquante. Depuis la grosse bague au sac à main 100% cristal. Une ambiance qui fait la joie des derniers arrivés.
       Carol voulait, des hommes, des queues qu’elle a pu utiliser pour son plaisir et goûter sans limites. Elle connaissait son corps comme personne, aussi ce fut facile pour elle de lui transmettre son savoir de la jouissance féminine. La voir ainsi exploser, ses yeux révulsés ...

... par la puissance de l’orgasme qui la submergeait, l’avait rendu fou de joie. Il lui fait part de sa recherche et de leur vie sexuelle à sa femme et lui, ses pigmentations, ses jeux, et tout et tout, quoi! Il lui fait comprendre qu´il aime voir un ou des hommes s’amuser avec sa femme, flirter, la voir se faire toucher, embrasser, doigter, et surtout de la voir prise par un autre homme jusqu’à ce que l’homme éjacule en elle. 

    - La voir assise dans l’obscurité, l’air ennuyé et sa jupe remontée au niveau des cuisses m’excite terriblement.
    - Quel plaisir coupable, quelle vicieuse je suis! Lui dit-elle.
    - Quelle actrice!

          Durant le trajet, Carol Albuquerque s’amuse comme une folle, relève sa robe, lui montre sa petite culotte noire et lui touche l’entrejambe, découvre son excitation tandis qu´il conduit. Ils arrivent bientôt dans ce charmant club libertin. Le soir, elle s’était faite aussi séduisante que possible quand la Porsche qui s’arrêtait devant l’entrée. Le vent chaud pénétrait sous sa robe à plis et caressait son entrejambe.  Ses talons plats claquaient dans la nuit et les passants qu´elle croisait lui regardaient comme une femme allant en boîte. Tout était normal. La nuit était douce et au coin de la rue elle marchait d’un pas assuré vers l´entrée. La peite robe fait sensation au entrer dans le club Bahama´s. À búzios tout est permis l´argent s´affiche sans complexes. Carol Bitencourt allait vivre dans une maison luxueuse et plein d´oeuvres. ...