La blonde devasse de la jet-set - Histoires de Sexe

La blonde devasse de la jet-set

... lesquelles elle est impliquéee font sensation dans la presse. Elle était considérée comme une beauté rare.
          Elle connaît le pouvoir de séduction de ses fines chevilles et de ses jambes que sa robe a découvertes quand elle s’est assise; aussi, elle évalue l’effet produit sur les quelques hommes présents, avec son regard coquin et un sourire engageant. L´homme ouvre la porte et entra. C´est d´abord l´enchevetrement de parfums que lui saute à le nez. Le sourire est constant sa politesse se souffre aucune obséquiosité. Ses regards se sont croisés. un beau homme souriant, plutôt mignon, lui lançait quelques regards, l’air de rien. Il l’a souri, comme si c’était naturel. Carol adora les surprises particulièrement les hommes élégants. Sa vie de nymphe incorrigible. Carol était assise dans le bar du Jockei Club. elle croisa les jambes, ce qui eut pour effet de faire glisser sa robe sur le haut de ses cuisses et laissant apparaître le haut de ses bas. Elle est assez grande également, au corps parfaitement dessiné à ses yeux. Elle est ce qu’on appelle pudiquement une femme forte, taillée comme un sablier: de grosses fesses et des hanches larges, une taille très marquée et une opulente poitrine. C´était une jeune femme exuberante et sulfureuse, mais que à la base vins d´une famille três riche. Après deux verres elle commençait à être bien chaude. où se trouve l´homme d’une trentaine d’années. Carol croisait, décroisait au style de Basic Instinct ses longues jambes Son père ...

... avait fait fortune dans transport de marijuana du Paraguai au Brésil avec 150 routiers. Elle rêvait de mener une grande vie. Elle trouve un homme Rolex au poignet à son goût et elle ne s’était pas gênée. 
          Son corps est resté ferme. Sa robe longue d’un magnifique mauve lui va à ravir,  son absence de soutien-gorge laissent sa poitrine tendre le tissu à l’extrême et les fines bretelles peinent à faire le travail, semblant pouvoir craquer à tout moment. Les pensées erotiques tournaient dans sa tête.  Elle n’apprécie rien de plus que cette ambiance dans laquelle son charme coquin, conservé et amplifié par les années, agit sur les hommes… Et certaines femmes. Elle sait combien elle peut séduire, puis partager ses envies de libertine assumée, jusqu’à s’abandonner à la luxure sans tomber dans la vulgarité. Elle soupira et se mordait la lèvre en l´admirant dans son sprit elle ne voyait pas  que lui. Il était grand, rolex au poignet, une touffe de cheveux noirs tombait sur lês yeux. Il est sous le choc. Il la trouve belle. Hypnotisé par sa beauté magnifique. Carol Albuquerque a connu le milliardaire. Une histoire d´amour de plus étrange qu elle connue. La belle bourgeoise s’amuse ainsi à jouer avec les mots et la situation, pour mélanger la distinction qu’elle affiche en toutes circonstances et la lubricité de ses envies profondes, de son tempérament de baiseuse expérimentée et très pratiquante… L´homme le souffle courtet la voix déjà rauque,
          - On se connais?
      ...