1. COLLECTION LES CHIENNES. Tout ça pour ça (5/8)


    Datte: 23/01/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... leur raconte mon parcours, de ma fuite jusqu’à ces pièces dans un sous-sol je le pense. - Viens à la douche, je dois te préparer, les clients vont bientôt arriver. Dortoir, douche commune avec ma nouvelle maîtresse dans toute l’acception du terme. Salle des vêtements et du maquillage. Viviane, la Belge ayant commencé par des bars à putes comme indépendante mais ayant volé dans un supermarché, elle s’est retrouvée soustraite à sa vie libre par ce réseau de maquereaux, tous des policiers comme l’inspecteur Jean-Pierre à ce que j’apprends. Louisette, Française, bonne à tout faire et faisant tout depuis qu’elle aussi est tombée dans les filets du réseau. Cette petite brune insignifiante au premier abord est contente de son sort, ici elle baise avec des hommes alors qu’ils se désintéressaient d’elle. Anne, la plus âgée et la plus ancienne, l’une des premières à avoir été attrapée. Elle refuse de dire comment elle s’est retrouvée à tapiner. Je comprends que certains clients préfèrent les femmes d'âge mûr aux jeunes pucelles que j’ai fini d’être au cours de mon parcours. Bien sur Olga, c’est la sœur de Magda la tenancière. Elles sont venues en France pour fuir leur pays et se sont retrouvées comme des clandestines. Magda a commencé à tapiner avant de faire voir son sens de l’organisation et comme elle était la maîtresse attitrée d’un commissaire chef du réseau, il l’a promue à son poste. Des putes tenues en l’état par des putes avec les chantiers en ligne de mire si l’une d’elles ...
    ... a des velléités de rébellion. - Tu comprends Radia, si tu déplais à Magda où à sa pute de Lola, ils nous conduisent pendant le temps qu’ils veulent nous faire sauter par des ouvriers qui travaillent dur sur plusieurs chantiers. La dernière fois avec Anne, c’est un chantier d’autoroute où nous avons fait des passes avec toutes sortes de nationalités. Si tu y vas, tu parleras ta langue avec eux, il y a un nombre important d’entre eux qui viennent de l’autre côté. Je comprends que c’est le bordel, que je vais encore me faire défoncer, je devais faire la pute de mon mari au Maroc. Que les vieux dans leur maison macabre voulaient faire de moi leur pute avant de me tuer me faisant finir sous des kilos de ciment. Que la façon dont Jean-Pierre m’a traité, pour lui j’étais déjà une pute même si c'était en devenir maintenant après avoir mis des peignoirs directement sur nos corps : Bleu Olga, rouge Viviane, vert Louisette, Violet Anne et jaune pour moi. - Aller les filles, on monte, il y a déjà deux clients qui attendent. Je découvre une nouvelle partie de l’endroit où je me trouve. Un bar dans une pièce borgne comme leurs voitures et leur dortoir. Mon premier client est là parmi les deux hommes qui sont au bar et qui prennent le champagne avec Lola qui semble tenir le bar et Magda qui tient la caisse. Mon client, homme bedonnant paye ma prestation à au garde-chiourme qui comme la barmaid est drapée dans un peignoir avec des fils d’or. Magda, noir et Lola, blanc. Olga m’a montré les ...