1. Annabelle progresse 10


    Datte: 23/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... l'usage de tes jambes. Tu te ressaisis aussi en disant à ton patron que tu feras ce qu'il t'ordonne. Vous voyez! Dit-il en s'adressant à ses amis, je vous l'avais bien dit. Cette chienne est parfaite. En peu de temps, son mari et moi l'avons bien dressée. Certes le terrain était fertile, mais elle nous a beaucoup étonné. En quelques jours, la femme sensuelle est devenue une grosse salope obéissante. D'ailleurs vous allez voir. S'adressant cette fois à toi, il te dit de monter sur son bureau, de remonter ta jupe sur tes hanches et de t'accroupir face à ses amis. Sans un mot, tu t'exécutes, une fois de plus résignée. Une fois en place, le couple se redresse des fauteuils où ils étaient engoncés afin de voir de plus près, le spectacle que tu leur offres. Ils admirent ta chatte que la position entrouvre et constatent qu'un objet obstrue ton trou du cul. L'homme questionne ton patron du regard. Celui-ci répond qu'il fallait te le dilater car l'endroit n'était guère pratiqué. L'homme répond toujours sans parole d'un signe de tête. Ensuite c'est la femme qui tend le bras et passe ses doigts sur tes grandes lèvres qui pendouillent. Elle ramène sa main et la fait voir à son mari. Regarde dit-elle, cette pute mouille déjà, je sens qu'on va bien s'amuser ces deux prochaines semaines.Le dimanche matin, nous prenons la route vers 10 heure. Il y a une cinquantaine de kilomètres à faire seulement mais il est convenu que nous serons à destination en fin de matinée et la route que je ne ...
    ... connais pas est un peu tortueuse, donc il vaut mieux prévoir un peu de marge. Tu sembles songeuse mon amour, et la moue que tu fais me laisse à penser que tu dois te faire tout un cinéma dans ta tête. Encore une fois tu dois tenter d'imaginer ce qu'il va t'être demandé comme perversité. Ou alors, tu penses à la nouvelle punition qui t'est promise. En effet, vendredi soir lorsque tu es rentrée, tu m'as littéralement agressé. Tu étais furieuse que je ne t'ai rien dit sur les deux semaines suivantes, vexée que ce soit ton patron qui t'ait appris la nouvelle. Je t'ai vite calmée en te disant que c'était la même chose lui ou moi en ce qui concerne ton éducation. Que tu n'avais pas à parler sur ce ton à l'un de tes maîtres et qu'en conséquence tu subirais ultérieurement une autre punition.La route était quand même agréable malgré les nombreux virages, il faisait super beau et tu ne desserrais toujours pas les dents. Tant pis, mais ça ne changera rien. Déjà quarante cinq minutes que nous roulons, tranquillement il est vrai, quand je vois enfin le panneau indiquant le village attendu à six kilomètres. Je bifurque. J'aperçois les premières maisons en même temps qu'un autre panneau, celui-ci en bois, cloué sur un pieu fiché de travers dans le talus sur ma droite, avec le nom du lieu-dit. Je m'engage donc dans la direction qu'il désigne. C'est un chemin non goudronné mais très carrossable, bordé de platanes qui forment une voûte bien agréable par ces chaleurs. On n'en voit pas le bout car ...