L'asservissement d'Ambre
Datte: 23/01/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur,
... des flots de foutre dans mon intimité il commenta vulgairement : - "Prends toute ma semence petite salope d'allumeuse!...." Je m'effondrais sur la carpette alors qu'il retirait son énorme mentule de ma petite chatte frémissante. Ils me baisèrent tour pendant tout le reste de la nuit et me prévinrent de ne rien dire si je ne voulais pas qu'ils diffusent la cassette de les exploits. En tant que chef de la petite bande Eric décréta que je lui appartenais désormais, ses comparses nous quittèrent alors qu'il m'avisait qu'il allait rester avec moi le reste du week-end. Par chance mon petit ami était retenu dans sa ville, rien ne s'opposait donc à ce qu'il s'installe chez moi ce week-end. Le lendemain matin il prit une douche e,n ma compagnie, puis il m'invita à visionner les rushs en attente de montage, il me susurra que la cassette serait montée en fin de semaine prochaine. Horrifiée je vis défiler les images qui me condamnaient à subir son emprise, il disposait d'assez de matériel pour me plier définitivement à sa volonté. Si je me révoltais, sans aucun doute le scandale briserait ma carrière, je serai bannie de l'enseignement désignée à la vindicte populaire comme la petite pute que je semblais être devenue. Le meilleur moyen de ne pas être désignée comme une pute de bas étage était de devenir sa petite pute personnelle, bien obéissante, soucieuse de satisfaire ses appétits les plus lubriques. La journée de samedi, je me comportais en bonne petite ménagère cherchant gagner ...
... ses faveurs, je passais la journée entièrement nue, que je regarde la télé ou que je cuisine, restant à son entière disposition le laissant disposer à sa guise de mes charmes. Le soir même ; dans la chaleur de mon grand lit, allongée sur le ventre, le cul arqué il lubrifiait mon anus sans que je trouve à y redire. J'étais pucelle du trou du cul mais ne me sentais pas capable de m'opposer à sa volonté, je ne voulais surtout pas provoquer sa colère. Il introduisit un doigt, puis deux puis trois dans mon œillet rétif, me gahamuchant énergiquement pour m'évaser le goulot tout en le lubrifiant. Je frissonnais d'appréhension lorsqu'il pointa son chibre sur mon petit anneau crispé de peur. Seul sans ses comparses comme spectateurs, il se montrait relativement doux, bien sur il ne tolérerait pas que je proteste en quoi que ce soit, mais il s'efforçait de ne pas me brutaliser inutilement. Son gland franchit relativement aisément le premier obstacle, puis progressivement sans que je ressente la douleur horrible que je craignais de ressentir, par petites saccades, il s'enfouit avec d'amples mouvements au plus profond de mon trou du cul dompté. Il m'encula longuement , petit à petit des ondes de plaisir naquirent dans mes reins, effarée je compris que j'allais jouir, j'étais une anale qui s'ignorait, réalisant mon émoi il me laboura alors rudement, frénétiquement enfin dans un grand cri il rugit ; - « Ca y'est ma chérie ... je jouis ... Ahhhhhhhh .... » et il projeta des flots de foutre ...