1. Abandonnée en boite.


    Datte: 24/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... en chaleur. Je voulais jouir. Je lui « plus vite prend moi fort » Il accéléra le mouvement, j?eu plusieurs orgasmes « oui c?est bon continue, encore » je me comportais comme la vraie salope. Pendant les ébats il me déshabilla, j?avais la jupe remontée sur les hanches, les seins à l?air. Je bougeais mon cul pour qu?il me culbute plus fortement. Il a fini par jouir, je sentis le préservatif se remplir. Je le dégageai, car sa bite dégonflait assez rapidement. Après m?être réajustée nous sommes sortis. J?avais bien joui et surtout bien fait la salope. Comme d?habitude en pareille situation, je rejoignais les autres. Et là ma surprise fut de taille, la table que nous avions était occupé par d?autres. Je regardais à plusieurs reprises, en me disant que je m?étais peut être trompée ? Mais après plusieurs passages, je me rendais à l?évidence qu?ils n?étaient plus sur cette table. Je suis allée au bar, mais la non plus personne. J?ai demandé au barman, s?il les avait vus, la réponse fut négative. Je suis sortie pour allez voir sur la parking. Après l?avoir parcouru, plus de voiture non plus. Je retournais à l?entrée pour demander aux videurs. Mais pareille, personne n?avait rien vu. Je me retrouvais comme une conne seule, sans portable, sans argent. J?étais prise de panique. Je pouvais attendre la fermeture de la boite et qu?un membre du personnel me raccompagne chez Didier, mais sans certitude qu?il connaisse son adresse, surtout que je ne la connaissais pas moi-même. Il habitait ...
    ... un petit village, tellement petit qu?il faisait partie d?une autre commune, dont je ne connaissais pas non plus le nom. Je rentrais et tournait autour de la piste de danse, jusqu?au moment où ma conquête me proposa de venir avec ses amis à leur table en me disant « tu as l?air abandonnée, viens avec nous » il me prit par les épaules, je l?ai suivie. Je m?intégrais, il y avait deux filles, une assez jeune et rondelette, l?autre plus âgé, environ la trentaine, le visage assez anguleux, le regard assez dur et assez autoritaire. Les autres garçons, il était 4, il y en avait un très très jeune, qui ne devait surement pas être majeure et les autres 20 25 ans, comme celui qui m?avait levé. Ils se montrèrent gentils avec moi, la fille avec le visage anguleux se leva, elle était grande, très fine, de longues jambes avec une jupe mi cuisses. Nous avons fait connaissance et avons discuté. Je suivais la conversation, car je n?avais rien d?autre à faire. Je réfléchissais, à la façon de pouvoir rentrer. Jusqu?au moment où je me souvins d?un détail, Didier allait toujours chercher son pain le dimanche vers 12h30 13h00 dans une boulangerie qui était située dans une ville dont le nom était facile à retenir. Le problème est qu?il était simplement 1 heure du matin. Il fallait que le temps passe, et il ne passait pas vite. Laurent, ma conquête me pris contre lui et m?embrassa. J?étais un peu gênée, car les autres étaient à coté. Lorsque la fille revint elle dit « il y en a qui ne s?en font pas » ...
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