La patrouille s'agrandit
Datte: 24/01/2018,
Catégories:
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... est un homme qui sait recevoir, mais son seul défaut c’est de ne même pas imaginer servir de l’eau à ses invités. Pendant leur absence il a préparé son fameux cocktail que les connaisseurs trouvent redoutable. Du coup, Martine et Jean veillent à ce que leurs amis n’en boivent pas trop, Fabian surtout, qu’ils ne voudraient pas voir dormir avant même que le repas ait commencé. Et l’apéritif dure car ils ne sont sortis de table que tard dans l’après-midi. Le temps passe tranquillement. Et puis Gérard revient de sa cuisine avec un air catastrophé : il n’a plus de pâte feuilletée pour son poisson en croûte. Les femmes lui proposent d’en préparer s’il a les ingrédients. Ouf, sauvé, il a. Tous trois repartent en cuisine, laissant Jean et Fabian sur la terrasse. Quelques minutes plus tard, leur hôte revient avec un air de conspirateur. — Vous devriez venir voir… Intrigués, ils le suivent. Dès la porte de la cuisine franchie, les deux hommes comprennent. C’est un délicieux spectacle que leurs femmes leur offre. — Elles ne voulaient pas se tacher, et je n’ai que des petits tabliers. Elles ont en effet revêtu un tablier, mais il ne les couvre que de la taille aux cuisses. Le reste, tout le reste est à l’air. Les seins, mais ce n’est pas ce qu’on voit en premier. En premier, c’est tout l’arrière, des épaules aux pieds, avec juste la ficelle du tablier autour des hanches. Jean s’avance et se place derrière sa femme. — C’est pas beau, une femme dans la cuisine ? dit-il en souriant et en ...
... posant ses mains sur les fesses tentantes. Mais Martine, qui pétrit la pâte, rétorque sur le même ton : — C’est pas sympa de pétrir mes fesses alors que moi je ne peux pas me défendre. Si encore ce n’étaient pas des mains calleuses !— Tu préférerais peut-être celles de Gérard ? interroge son mari.— Ce n’est pas à lui que je pensais… rétorque-t-elle en regardant ostensiblement dans la direction de Fabian. Le silence ne dure pas longtemps. Jean réagit presque aussitôt. — Eh bien, Fabian, c’est demandé si gentiment. Je vous cède la place. Il hésite à avancer. Tout le monde le regarde. Lisa en particulier, qui le regarde avec un drôle de petit sourire, et il se demande même si elle ne lui fait pas un signe de la tête en direction de sa voisine. À moins que ce soit pour repousser des cheveux devant ses yeux.« On va faire comme si ! » pense alors Fabian qui se sent défié. Installé maintenant derrière Martine, il pose délicatement ses mains bien à plat sur les fesses rebondies. — Et moi ? D’un seul coup, les regards sont attirés vers Lisa qui vient de parler. — Ben oui… Et moi ? Moi, je n’ai pas droit au massage ? Pourtant moi aussi je travaille (elle montre ses mains dans la pâte) ; je me contenterais de mains calleuses. C’est une sorte de défi qui est lancé, Fabian ne s’y trompe pas. Il hésite à peine, mais il a peur que sa voix ne trahisse sa nervosité ; aussi c’est par un hochement de tête qu’il donne son accord. Jean n’a pas de scrupules, et les mains qu’il pose sur les fesses de ...