La patrouille s'agrandit - Histoires de Sexe

La patrouille s'agrandit

... tu ne comptes pas dans la forêt.— Quoi, dans la forêt ?— Laisse-moi parler, à moins que ça te dérange ; je te choque, peut-être, dit Lisa qui, d’un seul coup, s’inquiète que Fabian trouve que sa copine exagère.— Non, au contraire. Ton récit m’excite, ma chérie. Raconte-moi. Fabian se fait un peu cajoleur. — Ils ont recommencé.— Ah ?— Ils ont chahuté comme des enfants, et au bout d’un moment on voyait le sexe de Gérard qui gonflait. Alors il s’est éloigné en disant « J’ai un petit problème. Je reviens. » Martine s’est aussi éloignée derrière lui, et en souriant m’a dit « Ne bougez pas, je vais voir si je peux l’aider. »— Tu es en train de me dire que Gérard bandait et que tu as vu son sexe comme cela.— Allons, Fabian, ne sois pas ridicule ; un sexe est un sexe, même en érection, et même s’il était…— Quoi ? Était quoi ?— Ne te fâche pas, je veux juste dire qu’il est bien… que sa… Bon, tu vois ce que je veux dire : assez grand, quoi. Mais rassure-toi, je n’ai fait que le voir ; ce n’est pas moi qui l’ai sucé.— Parce que…— Oui, j’ai honte, mais je les ai suivis. Ils n’ont pas été bien loin. Je me suis cachée, mais je me demande si Martine ne m’a pas remarquée, car lorsqu’on a été dans la voiture, elle m’a demandé si cela m’avait plu ; et je suis persuadée, à la façon dont elle parlait, que ce n’était pas la plage, mais le reste.— Donc tu les a vus. Comme hier soir, elle et son mari.— Pas de si près, mais tout de même assez pour la voir le pomper. C’est là que j’ai vraiment pu ...

... constater qu’il en avait une grosse… Oh, excuse moi, je ne cherche pas à comparer… Tu sais ce que l’on dit, que la taille ne fait pas tout…— Ça va, ça va, épargne-moi.— Je ne m’y connais pas beaucoup, mais elle sait y faire. Surtout, j’ai remarqué qu’elle l’a gardé jusqu’à la fin. Fabian, qui veut pousser encore un peu plus son amie vers plus de liberté de langage, insiste : — Gardé ? Ça veut dire que… Lisa ne répond pas mais, un sourire aux lèvres, pousse l’homme vers un fauteuil. Et pendant qu’elle commence à détacher le pantalon de toile, lui dit, avec une lueur prometteuse dans le regard : — Je vais te montrer… Pendant ce temps-là, à quelques mètres, une autre femme raconte aussi sa journée. — T’es vraiment une fieffée délurée. Te taper deux fois Gérard ! Tu vas me dire que c’est pour la bonne cause, que tu t’es sacrifiée… Cochonne ! J’ai nourri un serpent dans mon sein. Tu sais ce que cela va te coûter ; je réfléchis à une punition à la hauteur de tes actes. Jean s’amuse de cette histoire. Depuis qu’elle a parié avec lui, s’engageant qu’avant deux semaines l’un ou l’autre, voire les deux coucheraient avec les voisins, Martine se déclare prête à tout. Elle a déjà fait don de son corps et de sa gorge pour la bonne excuse de troubler Lisa. C’est Gérard qui a apprécié de se transformer en faire-valoir. Que Martine arrive à piéger Fabian, il n’en doute pas un instant. Qui ne rêverait pas de se payer la voisine qu’il a vue se faire prendre en long, en large et en travers, non ...