La patrouille s'agrandit
Datte: 24/01/2018,
Catégories:
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... se retournant sur le ventre, se penche vers elle pour lui dire discrètement : — Excusez-moi, cela m’arrive quelquefois. Uniquement lorsque je vois une très belle femme. Il a parlé si doucement que personne n’a dû l’entendre. Elle sourit de ce compliment. Mais elle remarque que Martine et Gérard ne sont plus à côté. Montrant leurs places, elle demande : — Ils sont allé se baigner ?— Non, faire une balade. Martine avait trop chaud. Lisa est stupéfaite de ce que lui dit Jean. Ce n’est pas croyable d’être si crédule ! Il n’est donc pas surpris que son copain parte avec sa femme sous le prétexte ridicule qu’elle a trop chaud ? C’est tout de suite qu’elle doit sentir le chaud. Ils doivent être en train de baiser dans le bois, comme hier. Mais au moins hier, le mari n’était pas là. Ils n’ont vraiment peur de rien. — D’ailleurs je vais voir si je les vois, dit alors Jean qui se lève et s’éloigne. Lisa est catastrophée. Et si jamais il tombe sur eux ? Quelle sera sa réaction ? Découvrir sa femme entre les bras d’un ami doit être un choc terrible. Et si la fureur l’emportait ? Jean est très costaud, et Gérard plutôt fluet. S’il y a bagarre… Jean disparaît dans le chemin. Il faut faire quelque chose ! Elle se tourne vers Fabian, mais elle le voit qui revient de l’eau. Elle se lève, va à sa rencontre, lui explique en deux mots et l’entraîne pour suivre Jean. Heureusement, derrière la dune le choix est simple : soit longer la dune comme ils l’ont fait en arrivant, soit s’enfoncer ...
... dans le bois. Ils avancent. Le sentier est encadré par un grillage destiné à préserver la flore des piétinements. Cent mètres peut-être, et sur la gauche un autre sentier guide vers ce qui est manifestement un lieu de pique-nique. Ils sont là. Elle va se précipiter pour prévenir le couple que le mari n’est sûrement pas loin, mais Fabian la retient. Il lui fait signe de se taire et l’entraîne avec des ruses de Sioux. Un gros buisson leur sert de cachette. Les voilà à nouveau des voyeurs. Décidément… Manifestement, Jean les a retrouvés mais ne s’est pas mis dans la fureur qu’elle craignait. Il est tranquillement assis sur la table de bois avec sa femme entre les jambes qui lui pompe le dard. Gérard n’est pas bien loin, lui qui s’enfourne dans la chatte ou le cul de sa maîtresse ! Lisa réalise que ses craintes étaient ridicules : Jean sait parfaitement que sa femme a un amant, et mieux, que cette situation lui plaît. Martine se fait prendre sous les yeux de son mari et le console entre ses lèvres. Trio parfait qui lui en rappelle d’autres. Mais ils bougent. L’amant se retire, le mari se dégage. Comme un tableau bien réglé, Jean s’allonge sur la table pendant que Martine vient sur lui. Mais elle lui tourne le dos et, tous les membres en appui sur le bois rugueux, elle vient s’enculer sur la bite bien luisante de sa salive. Ils doivent être visibles de loin, ainsi surélevés par la table. Mais c’est sans doute plus confortable que le sol jonché d’aiguilles de pins et de grossiers ...