1. Amours culottés (4)


    Datte: 24/01/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... contre, pour ce qui est de te sécher, je ne crois pas qu’on y arrive. Tu as une bonne réserve, quand même, répondit Gabriel en lui soupesant les couilles. Tu fais l’amour à ta mère deux à trois fois plus que moi dans une journée et je n’ai pas vu que tu éjaculais moins le soir. — D’ailleurs, vous devriez faire plus de choses, entre vous, dit Line en s’immisçant dans leur conversation, parce que depuis cinq jours, j’ai l’impression de ne plus pouvoir serrer les cuisses. Oh, je ne me plains pas ; vous êtes en forme et les vacances te réussissent, Gabriel, mais rien qu’hier, à vous deux, vous m’avez fait l’amour douze fois et en plus j’ai sucé Brice deux fois. Même si j’adore ça, ça devient épuisant… — Je veux bien sucer Brice un peu plus. Ça te plairait, mon Chéri ? — Oh, oui, Papa, je vois bien que ça ferait plaisir autant à Maman qu’à toi et, moi aussi, j’aime bien quand tu me suces. Je t’aime beaucoup, Papa, rajoutant le garçon en serrant son père dans ses bras. — Moi aussi, je t’aime, mon Chéri… — Et bien ? Qu’est-ce que vous attendez ? Embrassez vous, vous en mourez d’envie. Brice et Gabriel regardèrent Line avec étonnement puis ils se tournèrent l’un vers l’autre pour échanger leur premier baiser langoureux et passionné. Line était ravie ; la communion amoureuse de leur petite famille devenait enfin complète et elle rêvait déjà de les voir aller plus loin. — Moi, ça va mieux, mais toi, mon pauvre Papa, tu bandes encore. Laisse moi t’aider. — Ooh… Brice, mon ...
    ... Chéri… Mmm… Toi aussi, tu suces bien… Brice n’avait aucun mal à avaler complètement la verge de son père et il lui branlait bien sa bite avec sa bouche et massant ses couilles et en les roulant entre ses doigts. Comme Gabriel l’avait fait avec lui, il força son anus avec son majeur et massa la paroi interne au niveau de la prostate. Son père se mit à geindre, son plaisir allait crescendo et il annonça sa jouissance en maintenant sa tête contre son ventre. Brice reçut son plaisir dans la bouche et fut heureux d’avoir rendu à son père le plaisir qu’il lui avait donné. Ils s’embrassèrent de nouveau très amoureusement et Line se joignit à ses deux amours. — Je vous trouve très beaux, quand vous êtes tous les deux et je suis contente de vous voir vous aimer comme ça. On forme vraiment une famille unie. — Une vraie famille de fous, tu veux dire. Deux parents et un fils sans scrupule ni morale qui se vautrent dans la luxure. — Ce n’est pas de la luxure, Papa, c’est de l’amour, et faut qu’on en profite ; vos vacances vont passer vite et, après, on n’aura plus que les week-ends pour se retrouver. — Tu as raison, profitons-en tous les trois et ne pensons pas trop à la rentrée. Dans l’après-midi de ce même jour, Line eut plaisir à les voir s’aimer en soixante-neuf en se suçant la bite et, aussi, en se léchant et se doigtant le trou du cul. Cela ne lui donna cependant pas beaucoup de répit et elle passa encore beaucoup de temps, allongée, cuisses écartées, sur une banquette. 
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