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Christophe (2)
Datte: 25/01/2018, Catégories: Gay
... mélangé. Sans attendre, il commence à donner de puissants coups de reins et je sens son gland taper dans le fond de mon anus. Je ne peux pas m’empêcher de pousser un petit cri à chacun de ses assauts, ce qui le pousse à accélérer la cadence. Sans me laisser un instant de répit il se retire brusquement, me retourne et me met à quatre pattes. Il me pénètre a nouveau d’un coup et reprend ses coups de reins incontrôlés. Malgré la fougue de ses assauts il me caresse le bas des reins de ses mains ce qui décuple mon plaisir. Il continue à me sodomiser ainsi, alternant avec des phases plus lentes. Je l’entends grogner et gémir de plaisir derrière moi. Moi-même je suis terriblement excité et me masturbe d’une main. Je sens mon cul en feu, Christophe me transporte vers des plaisirs insoupçonnés. Il se colle brusquement à mon dos, je tombe à plat ventre sous son poids. Il ne s’arrête pas pour autant et continuer à me bourrer l’anus avec la même vigueur. Son corps si brûlant collé au mien, qui doit l’être également, me procure autant de plaisir que son pieu de chair qui ne cesse de faire ses rapides va-et-vient en moi. ...
... Finalement je l’entends pousser un long gémissement alors qu’il déverse toute sa semence au fond de mon cul. Me voyant également proche de la jouissance, il me retourne sur le dos et enfourne mon pénis dans sa bouche. Il débuta alors une fellation passionnée qui ne dura malheureusement pas très longtemps puisque je ne pus me retenir de jouir. Je me décharge dans sa bouche et je comprends par un bruit de déglutition qu’il avait tout avalé. Il se couche sur mon corps brûlant et m’embrasse avec passion. Il entreprend de me caresser partout tout en me murmurant des mots doux le temps que je reprenne mes esprits. Nous restons un peu au lit, dans les bras l’un de l’autre, avant qu’il ne me raccompagne finalement chez moi. Je n’avais pas envie de le quitter mais nous nous sommes promis de nous revoir le plus vite possible. Sur le pas de ma porte il réussit à me voler un dernier baiser, léger, furtif mais qui me laissa le goût de sa bouche sur le bout de mes lèvres. Il me dit deux mots à l’oreille avant de partir qui me procurèrent un effet tout aussi comparable qu’à nos batifolages passionnés: zrtzddgq — Je t’aime.