La plage (Chapitre 1)
Datte: 25/01/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
plage,
intermast,
... très réceptive et sensible à la situation. Ses mamelons érigés et fièrement dressés en sont la preuve évidente, bien que ses jambes toujours serrées et un peu repliées ne nous laissent que le loisir de supposer son état. La façon dont elle me regarde, mi-amoureuse, mi-émue, me procure des vertiges de plaisir. Je lis dans ses yeux la tendresse, l’excitation, le désir et son accord… Je profite de chaque instant et me laisse porter par mes instincts : — Je ne pense pas que nous puissions mieux prouver ce que tu nous inspires… Dis-je à Béné, conservant le ton un peu décalé adopté par Denis.— Non… Répond-elle en regardant nos deux virilités. Je vois…— J’espère que cet hommage ne vous choque pas… ? Lui demande Denis.— Non… ! Répond-elle dans un souffle, son regard allant alternativement de ma queue à celle de notre ami, comme pour en faire une comparaison. Elle semble apprécier comme moi l’attitude de cet homme, qui malgré son indécence ostentatoire, ne tente aucun geste de privautés qui pourrait la froisser. Il semble affectionner comme nous le pouvoir des mots et cette situation tout à fait hors du commun. Pour les plagistes qui nous regarderaient, nous avons une attitude anodine, devisant, nus comme tout le monde. Du reste personne ne semble nous prêter une attention particulière, et nos corps en cercle forment un rempart à toute intrusion. Peut être seulement quelques voyeurs, là haut ? Je veux mesurer le degré d’excitation de Bénédicte et la pousser plus loin dans sa ...
... participation à ce jeu dont elle est le centre et l’objet – objet de convoitises, bien sur, avant de devenir, comme je l’espère objet de plaisir- — Mon cœur, est-ce que tu ressens la même émotion que nous… ? Lui demandais-je doucement, choisissant mes mots.— Oui… ! Me répond-elle tout simplement, me fixant de ses yeux humides et brillants. Le souffle bloqué, j’avance la main vers ses jambes serrées, la pose sur sa cuisse la plus proche de nous, et d’une légère pression, l’incite à la déplier, à l’ouvrir. Docilement, elle pose le genou sur la serviette, tout contre celui de Denis, et nous offre son sexe imberbe, sa motte bombée, ses lèvres pleines, sa petite chatte fendue qui s’épanouit comme une fleur sur son sillon rose et luisant de foutre. Cette fleur qui éclot sous nos yeux est d’une beauté primaire, d’un érotisme fou, mais aussi d’une indécence totale et nous coupe la respiration. Presque instinctivement, Denis porte la main à sa queue, les yeux rivés sur le coquillage de Bénédicte. Je sens le regard de ma compagne chercher le mien, et lorsque je croise ses yeux, l’émotion, le désir et la lubricité que j’y lis me laissent pantois. Ses yeux rivés aux miens, elle se tourne légèrement vers nous, glisse une main le long de son ventre et du bout du doigt, écarte ses lèvres et nous dévoile son bouton d’amour, tendu, bandé comme un petit sexe. — Tu vois, me dit-elle, moi aussi je bande…— Bénédicte, vous êtes prodigieusement belle et excitante… Annonce Denis. Et vous me mettez au ...