Une séparation brutale (8)
Datte: 25/01/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... mère. Elle était assise sur les toilettes, et avait enlevé la culotte qu'elle portait jusqu'à présent sur la tête. - Attends, s'il te plait, attends...D'un coup sec, je jetais le contenu de la cafetière sur ma mère. Elle poussa un hurlement, se retrouvant couverte de café... chaud simplement, et non plus brulant. - Tu ne me dis pas d'attendre. Et je veux te voir maman, je veux te voir chier. - Attends, c'est dégradant ça... - Putain de salope, ta gueule ! , lui dis-je en lui adressant une nouvelle giffle sur la joue droite. Puis je saisis ses mamelons, et me mis à les pincer et à les tourner fort.Le visage de ma mère se crispa par la douleur. - Ecarte tes jambes, montre moi ce que tu fais...Ma mère écarta les cuisses. Je me penchais, face à sa vulve entrouverte, et regardais en direction de ses fesses. Il ne me fallut pas longtemps à attendre pour voir glisser un long étronc, sous les pleurs de ma mère. Une fois l'étronc à moitié sorti, elle se mit à pisser juste devant moi. L'étronc tomba, et elle continua de pisser pendant quelques instants encore.Quand elle eut fini, elle leva ses yeux rougis vers moi, et se passa une main sur le visage pour s'essuyer ses larmes. - J'ai pas fini de t'enculer, lui dis-je. - Ce n'est plus possible. C'est trop maintenant. - Donne ton cul ! - Arrete de me parler comme ça !Deux claques fusèrent. Mais c'était ma mère qui me les avait donné.Je restais interloqué un instant.Ma mère se leva pour prendre du papier toilette. Je l'attrappais par le ...
... bras et la tira dans la chambre, puis lui fit traverser le couloir. - C'est comme ça que tu me remercies de prendre soin de toi, tiens, je vais te montrer ce que tu es sans moi !J'ouvrais la porte de l'appartement donnant sur le couloir de l'étage. Tout était éteint. Ma mère se crispa, tenta de résister, mais je la flanquais dehors, nue, couverte de café, et le cul sali de merde.Je voyais que ma mère était en panique, elle avait peur et elle était en colère. Je claquais la porte derrière elle. Elle tapa un moment. Pas trop fort, sans doute de peur d'attirer la curiosité des voisins, s'ils étaient chez eux. Puis elle m'appella doucement. J'attendis. Je l'entendis s'excuser, me demander pardon, me demander de lui ouvrir la porte.J'ouvris, et elle se précipita à l'interieur. Je croisais les bras devant elle. - ce que tu as fait est inexcusable, lui dis-je. Tu merites une punition. - Excuse moi, excuse moi cheri... - Mets toi face à moi, les bras bien le long du corps. Et tu ne bouges plus.Ma mère s'executa. Elle se figea face à moi. - Supplie moi de te pardonnner. Et dis moi que tu es ma pute. - Je... je t'en supplie... excuse ...Pendant qu'elle commençait à dire ses mots, j'orientais ma queue vers son ventre et commençais à lui pisser dessus. - Excuse moi, je suis ta pute...J'orientais mon jet sur son ventre et sur ses seins. L'urine coulait ensuite le long de son corps, sur ses jambes, ses cuisses, pour finir en flaque autour de ses pieds. - Giffle tes seins.Ma mère, doucement, ...