Naissance d'une relation
Datte: 26/01/2018,
Catégories:
f,
h,
hplusag,
voisins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
... vous raconter nos aventures. *** Les jours suivants nous nous sommes retrouvés dans de longues séances de masturbation individuelles, pour pimenter le jeu, j’ai fini par traverser la rue, me cachant (façon de parler !) dans la haie. Braguette ouverte et le chibre à l’air, je me branle à quelques mètres de la belle, elle souvent complètement nue et très active sur son sexe. Je peux ainsi voir son petit clito, objet de toute son attention, qui luit au-dessus de la fente humide. Nous prenons l’habitude de faire durer le plaisir, ralentissant ou stoppant brièvement nos caresses pour faire monter un peu plus la jouissance. Est arrivé le moment où elle m’a enfin fait signe d’approcher, nue, ses fesses posées au bord de la chaise et les cuisses ouvertes elle m’offrait son trésor, j’ai alors pu goûter au fruit défendu. Pantalon baissé je me suis mis à genoux devant elle, ma bouche a pris possession de sa vulve nue que j’ai léchée tendrement, jouant à pénétrer de ma langue son antre odorant puis remontant jouer avec le petit bouton rose qui sortait d’entre ses lèvres. Très vite son corps c’est crispé et ses cuisses ont emprisonné ma tête, le feulement de sa jouissance a charmé mes sens et sans même me caresser, j’ai éjaculé sur le carrelage de sa terrasse. J’ai senti le miel couler de sa chatte et j’ai léché, et léché encore, pour n’en laisser aucune goutte, du même coup, une nouvelle et rapide vague l’a submergée et là, à ma grande surprise, ce fut une véritable éjaculation de ...
... cyprine qui a envahi ma bouche. Certes j’avais déjà vu sur le net des vidéos de femme-fontaine, mais ma surprise fut totale, les giclées successives inondant le fond de ma gorge j’ai voulu reculer, mais ses cuisses enserrant ma tête m’en empêchaient, j’ai bu jusqu’à la lie. Je me suis redressé le visage poisseux, elle me souriait. Voulant remonter mon pantalon pour cacher un peu mon gros ventre disgracieux, elle a bloqué mon mouvement et saisit mon sexe qui pendait devant elle, mais bien qu’il soit au repos, sa main fine ne parvient pas à en faire le tour, alors elle pose sa deuxième main sur la hampe de chair. Elle se lance dans un lent mouvement de masturbation, elle veut voir mon pieu reprendre vie. — Tu sais je n’ai pas vingt ans, et ça ne va pas si vite, lui dis-je.— Je n’en suis pas si sûre, et puis si je n’y arrive pas je serai patiente, mais elle est tellement grosse que je la veux. C’est… énorme ! Ses mots me touchent plus qu’elle ne peut le savoir, car depuis quelque temps, j’ai honte de lui exposer mon corps adipeux, je n’imaginais pas un instant qu’elle ne puisse y voir que mon sexe. La tige molle est malaxée et triturée dans tous les sens, rien ne vient. Elle penche alors sa tête et dépose des baisers sur le bout de mon gland tout en continuant ses mouvements, je sens en moi une petite lueur qui se rallume et un frémissement dans ma queue. — Tu vois, elle revit, laisse-moi te donner à mon tour du plaisir, assieds-toi et je vais m’occuper de ça. Je prends sa place sur ...