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Salle obscure
Datte: 26/01/2018, Catégories: fh, couplus, extracon, inconnu, Collègues / Travail cinéma, voiture, amour, entreseins, Oral totalsexe, extraconj,
... jalousie… C’était quelque chose de très égoïste, comme si cela me libérait, pour satisfaire le moindre de mes fantasmes… avec un autre. Je la voyais maintenant plus distinctement, même sous le faible éclairage de la ruelle. Elle était plus belle que jamais. Sa généreuse poitrine était littéralement moulée dans son T-shirt et ses sombres aréoles tuméfiées étaient clairement visibles sous l’effet du sperme qui les faisait adhérer au tissu devenu transparent. Mon regard obnubilé par ce spectacle croisa bientôt le sien qui était maintenant plus que jamais complice. C’est en me regardant fixement et tout en gardant dans son expression un joli sourire affectueux qu’elle me dit : — J’aimerais que tu me lèches les seins… J’ai envie que tu me les nettoies avec ta langue… Je veux que tu me laves, que je n’aie plus sur le corps une seule goutte de son sperme ! Avec ses mots, elle me prit la main qu’elle caressa tendrement et la fit glisser sous son vêtement pour que je libère sa poitrine. La vision de ses seins qui n’étaient plus couverts que par le liquide blanc et transparent de l’inconnu, me refit bander immédiatement ! Et je précipitai ma bouche au contact de son téton gluant pour commencer à la lécher avec application, comme un chat qui ferait la toilette de sa maîtresse… La saveur âcre et salée de la semence d’un autre homme sur le corps de Manon était magnifiée par le goût étrange de l’interdit que nous nous étions fixés jusqu’alors. Et pendant que je ...
... lapais les nichons de ma femme, je repensais avec délices à son acceptation de me voir tout à l’heure me faire sucer par une inconnue ! Après avoir nettoyé avec volupté chacun de ses seins et avec un délice particulier le profond sillon qui les sépare, je m’appliquai à lécher son nombril, et bientôt sa chatte. L’odeur de foutre séché était plus puissante encore qu’au cinéma, et particulièrement lorsqu’elle était mêlée à l’odeur de son sexe. Je fourrai ma langue entre les poils collés et gluants de sa toison intime et les suçai pour les libérer de la moindre « souillure ». Ma langue s’insinua alors dans sa fente, elle aussi gorgée du liquide visqueux, ce contact provoqua chez elle de petits soupirs de jouissance… Je me mis à m’imaginer l’instant où ce type gicla sur elle. C’était peut-être celui où j’avais éjaculé dans la bouche de ma voisine… Comme si à ce moment nous avions fait l’amour à distance, par l’intermédiaire de partenaires anonymes ! Les petits cris que poussait maintenant Manon m’aidaient à imaginer la scène de sa jouissance quand son partenaire s’était branlé contre elle ! Quelques instants plus tard, Manon était blottie dans mes bras, entièrement nue. Elle me remercia d’un profond baiser où sa langue vint se frotter à la mienne. Je réalisai rapidement que la saveur délicate et puissante de sa bouche n’était pas due qu’à sa seule salive… Et je l’imaginai dans les toilettes tout à l’heure, plus entreprenante encore que je l’avais cru…