Mon premier pas pour un oui
Datte: 08/07/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
vengeance,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
Oral
pénétratio,
jeu,
attache,
init,
exercice,
lettre,
confession,
portrait,
... jouir en toi…— Viens ! Donne-moi ton jus ! Je veux sentir tes pulsions ! Que tes jets inondent mon fourreau ! Crache ta sève : j’ai besoin de sentir que tu te déverses en moi, que tu vides tes couilles. Jouis… maintenant !— Rrrahhâââaaghhhh… Il se fige, le sexe planté au plus profond de moi. Les mains crispées sur mes cuisses. Des spasmes le traversent tout entier et je ressens les secousses qui vident ses testicules écrasés contre mes fesses. Mon corps sur cette table de massage a fini de livrer son chant et j’accueille son plaisir avec un immense bonheur. Épuisée, je laisse mes jambes ballantes sur ses épaules. Il crache en moi ses dernières gouttes et nous nous apaisons, nos corps emboîtés l’un dans l’autre. Il se détend et sort de moi tout en enlevant mes jambes de ses épaules. Je me laisse faire ; le plaisir et la jouissance m’ont rendue toute pantoise. Il me caresse le ventre. — C’était bon ?— Oui ! Je ne peux que répondre « oui ». Il penche sa tête jusqu’à mon entrejambe et me demande en relevant un peu la tête : — Je peux ? Un suçon ? Tu veux bien me laisser marquer ta peau dans le creux de ta cuisse ? Là, juste à côté de ton mont de Vénus.— Oui Tonny, marque-moi. Je veux bien garder la trace de ton passage sur mon corps. Voilà, c’est fait… ⌘⌘⌘⌘⌘⌘ Arnaud, mon Lion, voilà c’est fait ! J’ai fini de te raconter mon histoire. Voici mes derniers mots avant son point final : « J’ai dans mon antre le fruit de sa jouissance et c’est bon. J’ai sur la peau le suçon qui ...
... prouve nos ébats libertins. Mais j’ai aussi dans le tréfonds de moi un début de souffrance… ». — Comment ça ? me demandes-tu (j’imagine tes questionnements).— Je n’ai aucun regret !— Alors ? (je pense que c’est comme ça que tu m’interroges).— Tu sais, je t’ai expliqué que cette fois-ci mon histoire était un peu différente des autres, puisque je ne nous ai pas inventé « nous deux » comme les autres fois. Tu t’en es rendu compte, n’est-ce pas ?— Oui ! (évidemment, tu n’es pas idiot).— Je t’ai dit que ce récit, je l’ai fait reposer sur un tas de raisons que tu comprends, puisque ce n’est pas la première fois que je t’en parle. Tu me suis jusque-là ?— Continue ! (tu veux savoir : c’est bien !).— En me lisant, as-tu réussi à te laisser emporter par mes mots ?— Oui…— Alors, est-ce que j’ai été convaincante ?— Oui et non… (tu t’en poses des questions ; normal !).— D’ailleurs, c’est le but recherché, d’être convaincante. C’est comme une envie qui m’a pris de t’aider à comprendre la différence entre le plaisir sexuel et l’amour.— Mais je sais faire la différence ! Qu’est-ce que tu crois ?— Bien sûr… mais j’ai réussi quand même, avec mon histoire ?— Oui.— Tant mieux ! Alors, puisque mes mots ont commencé leur voyage sous tes yeux, j’ai besoin à présent que tu lises ce que j’ai dans le cœur quand je t’écris que j’ai un début de souffrance : — Voilà : je t’aime de manière exclusive et tu le sais. Tu te réjouis même de mon incapacité à aimer un autre que toi. Ça te rassure, tu en es fier. Eh ...