Mon premier pas pour un oui
Datte: 08/07/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
vengeance,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
Oral
pénétratio,
jeu,
attache,
init,
exercice,
lettre,
confession,
portrait,
... chien de fusil. Mais oui, mon Lion, je suis inventive ! ⌘⌘⌘ Voilà, je suis dans le vestiaire des couples et des femmes seules. La pièce est petite et chaleureuse. Je me déshabille tranquillement. J’enlève tout d’abord mes bottines noires dont la fermeture Éclair ne demande qu’à glisser. Puis je libère mon torse de mon petit pull fin. Les manches sont longues, le décolleté outrageusement profond. Et le mohair est si doux sous mes doigts… Une caresse, puis un au-revoir à mon pull. Mon soutien-gorge blanc en voilage souple et doux attendra que mes mains le libèrent. Dommage qu’il n’y ait personne pour apprécier mon déshabillage… Mais toi tu es là, Arnaud, et tu me regardes ; alors je me fais sexy et je te ravis de ma féminité ! Je décroche la fermeture Éclair qui maintient ma jupe étroite et je tortille mon cul. Le cuir se frotte à mes bas de soie. Le rugueux de ma jupe rencontre la douceur des bas soyeux en descendant le long de mes jambes. La jupe tombe à mes pieds et, en me baissant pour la ramasser, le tissu de mon string me rentre dans les fesses. Tu vois comme je prends mon temps pour toi, mon Lion ? Tu sens comme je t’aguiche ? Avec la conscience de l’impossible rencontre entre tes mains et ma peau. Je peux juste te dire qu’elle est douce, ma peau, délicatement parfumée au lait de toilette. Elle est chaude aussi, et la moiteur se cache là où tu devines. Tu sais bien… il suffit même que je resserre mes cuisses pour la sentir encore mieux, mouillant la peau de mon ...
... entrejambe. Me voilà presque nue, les premières barrières sont tombées. Il ne me reste qu’à dévoiler mes parties intimes, celles qui seront cajolées plus que toutes par des mains inconnues, des bouches gourmandes, des langues qui me feront frémir de plaisir. Je caresse le tissu fin de mes sous-vêtements, et délicatement, en prenant mon temps, je les enlève. Je prends une respiration profonde, consciente de ma nudité qui ne demande qu’à vibrer de plaisir. Si tu savais, Arnaud, comme tes mains, tes grandes mains qui ne sont pas là pour me réchauffer et me câliner sous cette lumière tamisée me manquent ! Je frôle ma peau du bout de mes doigts. Je ferme les yeux et je me dis que c’est toi. En me caressant délicieusement, je glisse mon pagne le long de mes jambes. Je le fais s’arrondir sur mes cuisses, je le « vagabonde » tout en douceur jusque sur mes fesses. Toi, tu les adores, mes belles pommes qui ne demandent qu’à être croquées ! Et moi je les trouve un peu trop rondes. Mais là, drapée par le tissu doux à la limite de la transparence, je me sens belle. Je me cambre sous le souvenir de tes doigts et je reçois ce léger plaisir en imaginant que ce sont tes mains qui nouent le tissu autour de ma poitrine. Ma blanche et lourde poitrine a un charme évident. Je le sais aux regards des hommes, quand leurs yeux parcourent mes seins coquinement cachés sous mes corsages. Mais oui, ça m’arrive fréquemment aux beaux jours, et tu n’es pas si souvent que ça à mes côtés pour t’accaparer leurs ...