Mon premier pas pour un oui
Datte: 08/07/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
vengeance,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
Oral
pénétratio,
jeu,
attache,
init,
exercice,
lettre,
confession,
portrait,
... faussement désinvolte. Je le regarde, lui décoche un beau sourire enjoué, malicieux. Il apprécie mon manège : ses yeux me le disent. Il se penche légèrement et son doigt caresse ma peau. C’est un délice parmi les délices. — Je m’appelle Capucine ; et vous ?— Tonny. Ça signifie « homme qui adore caresser les femmes ».— Ah oui ? Et moi, mon prénom signifie « qui aime les plaisirs et la tendresse ».— Une caresse comme celle-ci, tu aimes ?— Sur mon bras… et… ensuite ?— Sur ta cuisse… comme ça ? Il sent bon. J’ai envie de le respirer, alors je pose ma tête sur son torse. Il comprend mon besoin de câlin qui sied si bien à l’amour. J’ai tellement envie de tendresse que mes yeux lui en font la supplique. Il passe ses deux bras autour de moi et reprend la valse des caresses pour réchauffer ma peau. Et moi, je ne fais même plus comme si c’était toi, mon Lion… pour me laisser aller… avec lui, pour me ravir de ces moments de tendre libertinage. Juste parce que lui, il est là ! Je soupire d’aise. Je sens qu’il est aussi bien que moi. Nos caresses insistantes et douces sous le regard des autres ne nous suffisent pas, et l’envie de nous isoler nous prend. ⌘⌘⌘ Nous parlons des pièces qui s’offrent à nous, et d’une voix douce il me demande de la choisir pour que nous nous y réfugiions tous les deux. Je me lève ; il prend ma main dans la sienne, entrelace nos doigts et m’entraîne hors du salon pour rejoindre le couloir. — Tu aimes les massages ?— Oui. Et j’aime m’abandonner sous les doigts ...
... d’un homme. Il a bien remarqué mon sourire qui en dit long, et il comprime un peu plus ma main pour me faire comprendre qu’il me donnera le plaisir que j’attends. Nous entrons dans la salle de massage. — Tu préfères qu’on ferme le rideau pour ne rester que nous deux ?— Oui, pas de voyeurs, je préfère. J’ai à ce moment une petite pensée pour toi, Arnaud, toi qui es le seul témoin de ce que je vis. — Je sens que mon imagination s’enflamme ; et la tienne, Tonny ? Sans attendre sa réponse, je me place le dos contre la croix en bois blanc, les jambes écartées de telle manière qu’elles arrivent au niveau des attaches, et je place mes bras en croix au-dessus de ma tête de façon suggestive. — Tu m’inspires, et je vais t’attacher, Capucine… Il s’approche de moi, me caresse les bras, me fait naître un frisson délicieux lorsqu’il effleure le creux de mon coude. Il se penche, et d’une main un peu ferme masse mes cuisses, caresse mes genoux. Il descend ses mains le long de mes jambes et sangle mes chevilles. — Tu me laisses la liberté de m’occuper de toi ?— Oui. Attache mes mains. J’ai envie de m’offrir à toi, mais j’ai besoin de douceur. Je le laisse faire et je sens mon désir monter. Il attache mes poignets avec les sangles de cuir noir. — Ce n’est pas trop serré ?— Non, pas assez serré. Là, je peux faire glisser mes poignets en-dehors des liens si je le désire. Je ne me sens pas assez soumise.— Et comme ça, c’est mieux ?— Oui : maintenant, je ne peux plus me libérer. C’est bien. Me voilà ...