1. Deux cougars pour le jeune mâle dominant


    Datte: 27/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... allumer et attendez ! Nous nous dirigeons vers la porte et rentrons dans la pièce, de lourds rideaux en plus des volets laissent la pièce dans une obscurité presque absolue. Après quelques minutes, une deuxième porte s’ouvre mais nous ne voyons rien de plus avant que le battant ne se referme. -Bonjour Mesdames ! Pour une première approche, vous ne devrez vous servir que de vos sens du toucher et du goût. Guidez-vous à ma voix ! Nous nous rapprochons quand soudain il nous ordonne : -Ne bougez plus et laissez-moi faire ! Dans la pénombre, j’arrive à distinguer Claude qui se rapproche de Christine pour l’embrasser furtivement avant de lui retirer son top puis son soutien-gorge, libérant ses seins lourds. Il lui masse un instant la poitrine de ses deux mains avant de s’attaquer à son pantacourt, libérant son string uniquement retenu par des ficelles nouées sur ses hanches. Il tire sur les nœuds et le minuscule bout de tissu tombe à terre. Mes yeux commençant doucement à s’habituer à la pénombre, je distingue de mieux en mieux. Il s’est agenouillé, les mains sur les fesses de Christine, sa langue s’active sur un abricot bombé à la la fente comme taillée au rasoir. Christine soupire de satisfaction en saisissant les cheveux de son tourmenteur. Quelques minutes de ce traitement ont raison d’elle et elle râle sous l’orgasme. Il se relève et s’approche de moi, retire rapidement mon top libérant deux seins bien fiers aux pointes proéminentes. Il plonge sur mon mamelon droit et le ...
    ... prend en bouche, il l’embrasse avec fougue, le lèche, le mordille et l’aspire tendrement avant de faire de même à mon sein gauche pendant que ses mains s’activent sur ma poitrine. J’inonde immédiatement mon string qui ne peut retenir ma cyprine de la liqueur de plaisir qui suinte de mes grandes lèvres. Ses mains ont vite retroussé ma jupe et sa bouche fait ventouse sur la mince couche de tissu pour un massage labial de mon abricot juteux. Un doigt s’insinue entre mes deux petites crêtes un peu pendantes et trouve mon clitoris me faisant gémir. Il joue avec mon bouton d’amour comme un virtuose avec son instrument. Je suis à nouveau proche du point de non-retour quand il stoppe son mouvement pour me retirer mon dernier rempart de tissu qui couvre mon intimité. Il se relève, me laissant en plan en lançant : -A vous maintenant ! Mais vous n’avez accès qu’à ce qui est en dessous de la ceinture ! Je distingue de mieux en mieux, surtout de très près, mais ce n’est pas encore suffisant pour voir ses traits. C’est quand même bizarre, il n’a pas l’air d’avoir une grande carrure. Je m’approche de lui et commença à déboutonner sa chemise. Je veux lui flatter le torse mais il prend mes mains et les fait descendre au niveau de son pantalon. Christine a empoigné le devant du jean pour tâter le terrain. Elle le masse à travers le tissu pour qu’il devienne dur, mais à mi-chemin, elle s’arrête car la toile grossière oppose une résistance à son érection. Elle défait sa ceinture et fait sauter le ...