1. Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà (26)


    Datte: 27/01/2018, Catégories: Lesbienne

    J’ouvre le coffre de la voiture et y range les bagages. Je m’installe au volant et consulte la carte routière. Eva profite de ce petit intermède pour s’assoir sur le siège avant, mais sur le côté, les jambes pendantes, la portière étant ouverte. La vue donne sur le parking, mais il est sûr que son sexe doit être visible, dans la position où elle se trouve ! « Tu n’as pas peur qu’on te regarde ? Tu es en train d’exhiber ton joli minou à tous ceux qui peuvent le voir ! » Elle s’amuse de ma remarque : « Tu veux que je sois coquine, alors je fais la coquine !… J’espère que ça se passera bien à la frontière hongroise ! » ajoute- t-elle aussitôt, pensive. « Nous y serons dans une heure, ma chère ! » dis -je en repliant la carte. Eva se repositionne sur le siège, ferme la porte et nous démarrons. Il est 8 h 45. Une heure plus tard, nous arrivons à la frontière roumano-hongroise. Il faut passer les deux postes successivement, et tout cela prend une petite heure. Eva reste dans la voiture durant cet épisode. Ensuite, nous filons en direction de Szeged, grande cité, que nous atteignons peu après 11 h 30. J’avise une station-service, juste à l’entrée de la ville, et j’en profite pour faire le plein. Un peu plus loin, nouvel arrêt pour faire quelques provisions dans un petit supermarché. Cette fois, Eva décide de venir avec moi, pour se dégourdir les jambes. Vu l’heure, il n’y a pas grand monde et elle déambule dans les allées du magasin, ne craignant pas de se pencher pour examiner ...
    ... les produits exposés. Ce faisant, sa micro-robe laisse apparaître une partie de ses fesses nues ! « La belle coquine, qui montre ses fesses ! » lui murmurai-je à l’oreille. « Et ça t’excite, hein ? » me répondit-elle, amusée, en sentant ma main droite palper ses fesses. Une fois nos emplettes terminées, nous reprenons la voiture. A la sortie de la ville, un parking ombragé se présente et nous en profitons pour nous reposer et manger sur le pouce. Durant cette halte, Eva s’est assise sur l’herbe, les jambes écartées, m’offrant la vue complète de son affolante vulve. « Tu aimes voir mon minou, n’est-ce-pas ? Alors rince-toi l’œil, mon cœur ! » me lance- t-elle, provocante. Quand nous reprenons la route, il est un peu plus de 13 h. Tout se passe normalement jusqu’au moment d’entrer dans la ville de Kecskemét, vers 14 h 30. A un carrefour, la voiture qui nous précédait freine sèchement. Si je parviens à stopper sans problème, il n’en n’est pas de même pour le camion qui nous suit. C’est le choc. Je me gare aussitôt, ainsi que le camion. Peu de dégâts : le coffre est légèrement enfoncé, ainsi que le pare-chocs. Après avoir constaté lui-même les dégâts, le chauffeur du camion semble prendre les choses en main et un quart d’heure plus tard une voiture de police surgit. Palabres compliqués vu la barrière de la langue ! Les policiers nous font comprendre de les suivre et ils nous amènent à l’office de tourisme, où ils trouvent une jeune femme s’exprimant en français ; j’apprends que je ...
«1234...9»