1. Ecole du sexe (9)


    Datte: 28/01/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Profitant de mon pénis qu’elle ne put déguster pendant plusieurs jours, Mylène fut la première à m’offrir une fellation. Une chaleur sans nom s’empara de mon corps lorsque je sentis la langue de ma sœur caresser délicatement l’épiderme sensible de mon membre dont la taille avait atteint son acné. Tantôt aspirant, tantôt caressant la longue tige dépassant de mon corps, elle fit de nombreux va-et-vient dans sa bouche. Pendant ce temps, Alice ne perdit pas de temps et s’empressa de m’embrasser tout en guidant ma main vers son jardin secret. Sa mouille, souvenir de ce que je lui avais fait subir quelques minutes auparavant, imprégna mon doigt que j’eus incrusté en elle à un tel point que lorsque je le ressortis, quelques gouttes glissèrent et tombèrent sur le visage de Mylène, toujours en pleine action. Quelques secondes plus tard, elle lâcha mon organe et le tendit vers Alice qui s’agenouilla. Elle allait débuter sa fellation lorsque ma sœur la stoppa. — Attends, s’il te plaît. Je dois me mettre en position. Là, elle me força à m’agenouiller et posa l’une de ses cuisses sur mes épaules. Je pus profiter pleinement d’une vision totale sur son vagin rayonnant. Elle prit mes mains et les posa sur chacune de ses fesses moelleuses. — Surtout, tu me tiens bien. Je ne compris pas sa remarque avant qu’elle ne place sa deuxième cuisse sur mon autre épaule. Elle manqua de peu de tomber, mais je parvins à la retenir. Elle me demanda alors de me relever. Je m’exécutai et pus alors ...
    ... observer le résultat de sa manœuvre : elle était assise sur mes épaules, le vagin collé à ma bouche. Faisant gémir bruyamment ma sœur, j’entamai un délicieux cunnilingus pendant qu’Alice, en bas, suçait mon gland avec ardeur. Je supportai le poids de ma sœur non pas sans mal, mais le fait de pouvoir jouer à souhait avec ses fesses me procurait suffisamment de force pour continuer. Lorsqu’Alice décida qu’elle avait assez joué de ses lèvres, Mylène descendit de son perchoir et se positionna à quatre pattes devant moi. -C’était génial, Bastien. Mais maintenant, je te veux en moi. Je veux que tu me l’enfonces au plus profond et que tu me fasses jouir comme jamais je n’avais joui auparavant. Je ne répondis rien à cette invitation à entrer dans sa chambre secrète ; je préférai largement obéir et, sans prendre la peine de frapper à la porte, j’entrai brutalement et provoquai un intense rugissement de ma partenaire. Je poursuivis par de violents allers-retours touchant chaque fois le point le plus en profondeur de son con. — Oui, vas-y plus fort, vas-y plus vite ! C’est tellement bon ! Ces cris me poussèrent à redoubler d’intensité, si bien que je sentais me corps monter au septième ciel. Pendant tout ce temps, Alice me regardait avec tant envie qu’elle décida de se joindre à la partie. Elle grimpa sur le corps de ma sœur et, se mettant de dos, elle s’allongea sur le ventre et leva les jambes en l’air. Je compris alors où elle voulait en arriver, ce fut pourquoi j’attrapai férocement ses ...
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