1. En ce matin de juin...


    Datte: 28/01/2018, Catégories: fh, jeunes, école, 69, pénétratio, init,

    ... sont embrassés, ont refermé la porte, mais il l’a gardée dans ses bras, la tête sur son épaule. — Viens, Vincent, laisse-moi me débarrasser, nous serons mieux.— Excuse-moi, tu as raison. Dans les bras l’un de l’autre, dans une stricte étreinte amicale, Béatrice l’a interrogé. — Comment vas-tu ? Tu ne me parais pas en forme.— Non, plus rien ne va. Sauf le boulot, c’est ma seule activité.— Tu as bien quand même une petite amie, tu n’es pas resté…— Si, la dernière fille que j’ai touchée, c’est toi, tu te souviens ? Je n’ai plus d’amis, Céline et Daniel m’ont invité, mais je n’y suis pas allé.— Mais il ne faut pas rester comme ça. D’ailleurs ils vont se marier dans quinze jours.— Je sais, je suis invité. Je ne sais pas si j’irai.— Tu viendras et tu seras mon cavalier, Céline m’a prise comme témoin. À partir d’aujourd’hui, nous reprenons comme autrefois. Fini ton cafard. Et… Francine ?— J’ai passé mon temps à la chercher à son ancien emploi, mais elle a envoyé sa lettre de démission et son patron ne sait pas où elle est, j’ai tenté des recherches sur Internet, mais rien… Ils ont passé la soirée ensemble, ont couché dans le lit, en amis. Béatrice aurait aimé retrouver la virilité et la fougue d’autrefois, mais il l’a simplement enlacée, cherchant refuge entre ses bras. Elle s’est réveillée la première. Soulevant le drap, elle s’est aperçue que, si la tête de Vincent refoulait le désir, la queue, dans le sommeil, n’obéissait pas. Le mât était dressé, triomphant. Alors, avec toute ...
    ... la douceur dont elle était capable, elle l’a gobé. La tenant d’abord au chaud dans la bouche, peu à peu elle l’a humectée avec la langue puis a commencé le mouvement de va-et-vient. Deux mains ont saisi sa tête avec l’intention de la retirer. Mais elles aussi n’ont pas obéi, elles ont seulement caressé cet instrument de plaisir. Béatrice est heureuse d’être parvenue à tirer Vincent de sa léthargie, de réveiller sa libido. Elle poursuit son œuvre, il reste inerte. Soudain, il tire la tête en arrière et la ramène vers lui. Béatrice s’allonge sur lui et prend l’initiative. D’une main elle met en place le mandrin, et elle commence la danse érotique. Elle ressent un double bonheur, le plaisir physique à l’état pur avec cet amant qu’elle connaît si bien, et surtout le fait de l’avoir ramené à la vie. Car maintenant il l’enserre dans ses bras, baise sa bouche, retrouve les gestes autrefois familiers. Tous deux éclatent simultanément, restent enlacés un moment puis retombent côte à côte. — Merci. Tu es une fille merveilleuse. Je t’aime beaucoup.— Moi aussi, mais pas assez pour t’épouser. D’ailleurs, là-bas j’ai trouvé un boy-friend. Je devrais dire un petit ami, parce que c’est un Français, et nous nous aimons. Il est revenu, est allé chez ses parents. Je vais le rejoindre dans quelques jours.— Et tu t’es sacrifiée pour moi !— Le sacrifice n’a pas été très pénible, je savais quel serait mon supplice. Ils se sont retrouvés plusieurs fois Elle abandonnait ses parents, mais en cachette, ...