COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, la suite (6/7)
Datte: 28/01/2018,
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Dans la zone rouge,
... retourne à l’entrée. - Hélas, nous sommes complets, il y a un congrès à la salle des fêtes et les hôtels ont été tous réservés. J’ai déjà refusé trois couples. - Vous avez des sandwichs et du vin ? Nous sommes dans la salle des pas perdus de la gare, et n'avons notre train que demain matin. Nous pourrons au moins nous restaurer avec mon mari. - La cuisine est fermée le soir, mais nous vendons du vin pour les touristes, je peux vous en vendre deux. Est-ce les deux gorgées que j’ai bues ? Je les prends, c'est un peu cher, mais si nous n’avons pas à manger, Muller pourra toujours boire un coup. Je le retrouve. - Qui dort, dîne ! Installons-nous, je m’excuse de t’imposer de dormir par terre, en t’attendant, j’ai regardé dans leurs poubelles. Il y a du carton, ça nous isolera du froid, et j’ai trouvé quelques fruits trop murs, invendables, dans un restaurant. Regarde, il y avait un os de bœuf où il restait de la viande, Brutus se régale. Avec tes bouteilles de vin, je te promets un vrai festin. Dans son sac, il a tout ce qu’il faut, il en sort un tire-bouchon et un pull. - Mets-le, ça te tiendra chaud. Installons-nous, prends à boire, le picrate, tu verras c'est bon si la nuit se rafraichit. Une gorgée, deux gorgées, une bouteille, deux bouteilles, j’adore. Quelle conne de ne pas avoir biberonné plus tôt ! Ça fait passer les fruits qui sont plus près du pourri que du blet, mais j’ai faim, tout fait ventre. On s’installe pour la nuit. Un train passe à pleine vitesse, un autre ...
... s’arrête. Où va-t-il ? Je suis dans un autre monde, j’ai envie de courir le prendre, comment puis-je accepter de dormir dehors, moi qui ai toujours aimé mon confort, surtout depuis que je suis dans notre pavillon. C’est à ce moment-là, alors que je suis dans les bras de Muller, Brutus, allongé à mon côté, me tenant chaud, que je sens une main prenant la mienne et la fait glisser dans sa braguette. Inutile de me poser des questions. Muller à des envies, il est presque déjà en état de me prendre. Je penche ma tête, je mets son énorme sexe dans ma bouche. Est-ce le vin qui m’aide, me permettant de dépasser mes limites ? Il entre, il entre, et il entre encore. Je le fais ressortir, il entre à nouveau, il entre et entre encore, ses couilles tapent sur mes lèvres, j’ai réussi une gorge profonde. Incroyable. J'ai pu mettre dans ma bouche son immense braquemart. Je sais, je suis à la base une bourgeoise et malgré cela je parle d’une gorge profonde, je m’en tape. Comment je connais ce terme ? Mon inconscient, mon subconscient peut-être ? Ce qu’il y de sûr, c'est que quand je me place en levrette et que sa verge d’un coup tape mes fesses, le train est loin et mon fils aussi. Pourquoi ne pas vivre au jour le jour, à genoux sur ces cartons maculés par toutes sortes de choses se trouvant dans ces poubelles ! Surtout qu’un, deux, trois et jusqu’à quatre orgasmes me frappent dans le temps infini où mon amant me baise. Dans la nuit, Muller semble faire un cauchemar alors que je viens de réussir à ...