1. D'aussi loin que je me souvienne...


    Datte: 28/01/2018, Catégories: essayage, sexshop, cinéma, train, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, confession, cocucont,

    Avant de connaître l’existence même de cette pratique et qu’elle avait un nom, j’ai toujours été un adepte du candaulisme, voire ensuite ducuckolding. Très « cérébral », l’échangisme n’est pas source d’excitation telle que le partage visuel ou tactile de celle pour qui bat mon cœur. Souvent, j’ai entendu « La femme est un joyau qu’il faut conserver dans son écrin » ; pourtant, je suis tellement plus heureux lorsque partagée aux yeux des autres, elle attise la convoitise. À quoi bon conserver un bijou au fond d’un coffre dans lequel on finit par l’oublier ? Tandis qu’aux regards brillants d’envie, on capte le regard des autres et l’on se dit :« Waouh, quelle chance qu’elle soit mienne ! » La première fois que j’ai saisi le regard d’un autre, nous avions gardé un copain à dormir afin qu’il ne prenne pas la route après un repas arrosé. Ma douce s’était couchée avant nous, et au moment de la rejoindre, je l’ai trouvée sur le lit en nuisette, les fesses dénudées et une jambe repliée. Mon sang n’a fait qu’un tour et j’ai immédiatement eu envie de la montrer. Il faisait chaud ; j’ai laissé la porte ouverte et dit à notre copain : — Elle ne tient pas l’alcool et dort comme une souche. Tu as vu ? Elle n’a même pas pris le temps d’entrer sous les draps ! Il a regardé par la porte et ses yeux se sont attardés sur son sexe lisse et offert. Si j’étais déjà en érection depuis un moment rien qu’à l’idée de la montrer, notre voyeur a posé sa main sur son caleçon afin de masquer la sienne… ...
    ... J’étais aux anges, si excité qu’il m’a fallu me masturber auprès d’elle pour trouver le sommeil. Au réveil, ma douce a voulu enfiler un peignoir avant d’aller préparer le petit déjeuner ; je l’en ai dissuadée sans lui préciser combien sa nuisette était coquine à contre-jour. Préparant tous deux la table, je regardais ses seins bouger sous l’étoffe et son sillon pincer le tissu ; je savais que depuis le canapé, notre voyeur n’en perdait pas une miette. Lorsqu’il se leva, une bosse déformait son caleçon, ce qui n’échappa pas à ma douce. Filant aux toilettes, il dit en riant : — Maudite érection matinale ! Glissant ma main entre ses cuisses, son sexe trempé m’apparut comme une révélation ! Elle aimait qu’on la regarde, qu’on la désire, même en ma présence. Désormais, toutes les occasions étaient prétextes à jeux d’exhib. Même si nous n’avions pas dépassé ce stade avec ce copain, il profita à de nombreuses reprises de la jolie petite chatte de ma douce, montrée « accidentellement », bien que ne pas porter de culotte puisse difficilement être « accidentel ». Vinrent ensuite les premiers doutes ; non que je doute de mes convictions, mais plutôt sur ce qu’elle en pense, « Elle », sur ce qu’ils en pensent, « Eux », sur la « normalité » ou non d’avoir de telles idées. Étais-je devenu trop tôt un de ces pervers faisant la une des journaux à scandale ? Devais-je consulter un psy et lui « avouer » mes penchants hors normes ? La réponse vint d’elle-même, comme une évidence. Un soir de ...
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