Toi et moi
Datte: 29/01/2018,
Catégories:
fh,
boitenuit,
fdomine,
Oral
fdanus,
tutu,
Tu es allongée à plat dos sur le grand lit à baldaquin aux lourdes tentures, débarrassé des draps et des couvertures, pas même un oreiller, ce lit ressemble à un lac de montagne. Ton corps doré, bronzé de l’été, tranche avec la blancheur de ta couche, tel un îlot calme et tranquille sur l’étendue d’eau. Seul un spot de lumière rouge illumine notre théâtre amoureux. La pièce est plongée dans la pénombre, des ombres furtives vont et viennent autour de nous, l’air n’est envahi que par une douce mélopée de gémissements et de soupirs parfois soulignés d’un cri de jouissance, d’extase, de plaisir. Le plaisir, tel est le maître mot, la devise de ce club libertin. Tu ne te reposes pas, bien au contraire, tous tes sens sont en alerte. Tes poignets, liés par une fine cordelette, rejettent tes bras si délicats au-dessus de ta tête, il t’est impossible de rassembler tes mains sur ta poitrine, la cordelette est attachée elle-même à un des montants de ce lit. Tes adorables petits pieds reposent au sol, tes chevilles fines sont entravées par des liens solides reliés au lit. Les jambes largement écartées, offrent ta vulve et ton mont de Vénus au regard des voyeurs, nombreux en cet endroit. Ton sexe, soigneusement rasé et épilé, comme toujours, est au paroxysme de l’excitation, les grandes lèvres cramoisies par le désir et l’afflux sanguin ne dissimulent rien de ton anatomie la plus intime, ton bouton d’amour est érigé telle une sentinelle protégeant un trésor, et quel trésor ! Ta féminité, ...
... ton puits d’amour, ta source de vie… Les fesses, au bord du lit, ne cachent pas non plus ton petit trou si mignon, si tendre, lui aussi exempt de toute pilosité. Tes seins gonflés par le désir - dont les aréoles brunies hurlent leurs envies d’être étreintes, sucées, caressées - sont exposés aux mille convoitises des mâles et des femmes qui t’observent. Je suis à genoux devant toi, au milieu de la fourche de tes cuisses, le majeur de ma main droite est totalement enfoui dans cet anus si tendre. Je t’ai longuement préparée tout à l’heure sous la douche, la peau lavée du sel de notre bain de mer, apaisée des morsures du soleil, puis je t’ai massée très longtemps, ne laissant nulle partie de ton corps sans la caresse de mes mains. Mon massage s’est fait moins énergique, mes mains se sont faites caressantes, aimantes, douces, tellement douces que tu t’es abandonnée, confiante, heureuse de me savoir à tes côtés. J’ai commencé à te lécher l’intérieur des cuisses en dessinant des cercles concentriques qui, petit à petit, se sont rapprochés de ton intimité, j’ai évité soigneusement ton bouton d’amour sorti de sa cachette, j’ai contourné tes lèvres si tendres, je me suis dirigé lentement vers ce petit trou si charmant, dont je connais très précisément le goût et la texture. La première introduction de ma langue, dardée telle une petite bitte, t’a fait soupirer d’aise. Les allées et venues de ce minuscule dard, tout au fond de toi, t’ont éclairée sur mon désir, mon envie, mes intentions. ...