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51.5 Le bel étalon et le puissant jeune taureau
Datte: 29/01/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,
... échapper… Ses coups de reins ralentissent à peine… ma douleur persiste… Et là, je vois le corps du bomécano amorcer un mouvement qui va rapidement le placer en position assise… son torse se plie, se courbe vers l’avant… ses pecs frôlent mon visage, l’odeur de sa peau velue me donne d’autres frissons… Ses bras se lèvent… ses biceps enlacent mes épaules… mais ses avant-bras, et surtout ses mains, vont bien plus loin… Je ne peux pas voir ce qui se passe dans mon dos, mais je devine que ses paumes chaudes se posent quelque part sur le corps de son pote... le contact est rétabli… et presque instantanément, la magie opère à nouveau… ses coups de reins ralentissent, se calment… la bête enragée semble s’apaiser… Le contact ne dure que quelques secondes, mais ses effets persistent… mon bobrun a changé d’allure… ses va-et-vient sont amples, profonds, mais sa rage semble envolée… Thibault recule un peu le bassin, et s’installe en position accoudée… Suite à ces manœuvres, ma bouche se retrouve à hauteur du nombril et des abdos sculptés du beau mécano… j’ai l’impression de me trouver devant un Rubik’s cube géant, doux et ferme à la fois… sa peau douce, à l’aspect tout chaud, à la limite de la transpiration, est un pur bonheur pour les yeux… et pour les narines… Envie de lécher chaque centimètre de sa peau, envie de le caresser, de le serrer contre moi, de me sentir à nouveau enveloppé par cette masse de muscles et de douceur… Je sens sa queue frémir juste en dessous de mon menton… ça me ...
... rend dingue… alors, ce n’est plus seulement une envie que j’écoute, mais un instinct… mon nez, mes lèvres se posent sur sa peau douce et moite… je m’autorise à humer de tout près cet épais chemin du bonheur… je le suis, millimètre après millimètre, jusqu’à son nombril… un complexe bouquet d’odeurs de mec s’en dégage… l’odeur de sa transpiration, le souvenir de son gel douche… l’odeur de son jus qui remonte de son gland… mais aussi l’odeur du jus de son pote qui a atterri sur ses couilles… Je suis fou… les assauts de mon bobrun me procurent désormais un plaisir sensuel indicible… Je me perds dans cette déferlante de plaisir… très envie de reprendre le bomécano en bouche, de renouveler le contact avec cette queue délicieuse… Je ne peux pas me retenir plus longtemps… j’avance ma main, je la pose que sa queue et je commence à le branler… douce sensation que de tenir ce manche chaud et tendu au creux de ma main qui la remplit si bien… grisante sensation que de tenir le plaisir d’un jeune mâle dans ma main… d’effleurer ses couilles encore moites du jus de son pote… Vibrant de plaisir et de désir, je me penche un peu plus sur sa queue tendue… mes lèvres se posent sur son gland… Je recommence à le pomper, j’essaie de lui offrir du plaisir de la même façon qu’il m’en a offert… avec force et douceur… j’ai envie d’offrir du plaisir à ce mec dont la seule présence possède ce pouvoir magique sur mon Jérém… Ses mains sillonnent sans cesse ma peau… cou, cheveux, nuque, épaules, tétons… le ...