Xavier
Datte: 30/01/2018,
Catégories:
h,
telnet,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
regrets,
internet,
... intensité, la même violence, la même passion… Lui aussi devrait pouvoir partager ses fantasmes, ses pulsions, ses désirs soudains. Lui aussi devrait avoir le droit de lire librement un regard érotique et dévastateur chez une femme… Mais il ne le veut plus. Il ne le PEUT plus. Alors il se branle chaque soir ou presque devant son écran libérateur, longuement, lentement, sans pudeur ni feinte. Il observe sans scrupules des corps dénudés, ou mieux encore, en pleins ébats, soit sur des photographies de gang bangs charnels, de partouzes infernales, de gros plans vicieux et outrageusement impudiques… soit en matant des vidéos pornographiques qui le transportent où il veut. Il rêve… Il n’en a pas honte non plus. Pourquoi ce sentiment ? L’érotisme est naturel et la jouissance nécessaire. Il aime triquer comme un gamin et se palucher sauvagement, seul mais libre de ses fantasmes. Plus souvent encore, il passe des nuits à discuter avec ces femmes ou ces hommes qui hantent la toile. Il reste discret sur sa vie. D’abord anodines, les conversations se personnalisent et s’érotisent. Il aime captiver les femmes par ses mots doux puis pervers, par son humour fin et sa force mentale, avant l’audacieux ; ces femmes elles-mêmes qui passent du personnel au sexuel sans trop de vergogne et que cela excite tant. Il entre joyeusement dans ce jeu trouble et fascinant. Il aime être maté pour les femmes et les hommes aussi. Les femmes se libèrent, se réalisent, s’affirment, se dévoilent… Les hommes se ...
... lâchent. Ils sont beaucoup plus crus dans leurs termes et les gestes et les deux sexes l’excitent beaucoup. Xavier est devenu bisexuel par la force des choses, mais cela ne le gêne en rien. Il apprécie tout autant une belle paire de gros seins lourds, à peine libérés de leur soutien-gorge, palpés par les mains douces de la femme sur ses ordres, ou une belle chatte fournie, caressée puis ouverte généreusement par sa propriétaire qui lui pose des questions salaces, l’enjoint à commenter et l’engage à se toucher devant elle… Il aime alors répondre à ces attentes obscènes et lui montrer sa bite bien tendue d’excitation et tout son attirail qu’il sait satisfaisant. Assis sur son siège, jusqu’à son éjaculation, il balade sa cam sur son membre qu’il secoue vigoureusement, sur son gros gland luisant, trempé de mouille, sous la lampe de bureau qui s’y reflète, il expose ses couilles velues qu’il s’amuse à torturer, à séparer, à tirer pour le plus grand plaisir des deux compagnons d’un soir. Quelques trop rares fois, les femmes acceptent de se goder devant et pour lui, généralement après avoir pompé leur morceau de plastique dans des bruits savamment exagérés, sucé par des lèvres devenues avides. Ah, quel plaisir il a à ce moment à les inciter à fantasmer, leur parler par le biais des micros et les entendre réagir de l’autre côté du miroir. Ses mots sont toujours les mêmes, mais jamais identiques, car les femmes ne reviennent jamais lui rendre visite. Pour ce qui concerne les hommes en ...