L'Equipe VII - Histoires de Sexe

L'Equipe VII

... sourire prédateur "Tu ne comptais pas dormir seul?" J'allais répondre mais à peine mes lèvres s'écartèrent-elles qu'il en profitait pour m'embrasser passionnément. Baiser auquel je succombais, laissant la passion, la fougue et le désir s'emparer de moi, de nous. Mes mains glissaient sur ses flancs, sur son dos, pressant leurs doigts le long de sa colonne vertébrale alors que nos langues joutaient de plus belle. Quelques minutes plus tard ma tête reposait sur l'oreiller, mes épaules mes omoplates se pressaient fermement dans le matelas alors que mon bassin et le bas de mon dos et levé hors des draps, reposant conte le torse musclé de mon étalon blond. Il était assis sur ses genoux, mes cuisses relevées et mes jambes par delà ses épaules, cet amant fou me dévorait l'entrejambe, sa langue, ses lèvres allant de ma rondelles à mes bourses, passant sur mon périnée. S'attaquant principalement à mon petit orifice, à mes sphincters, les couvrant de sa langue, les forçant à s'écarter sous son intrusion, David me préparait et déjà me portaient aux anges. J'aurais pu résister si seulement une de ses mains ne jouait avec mes tétons alors que l'autre avait refermé ses doigts autour de mon sexe, me masturbant avec fougue. Oui ce diable avait décidé de me porter aux cimes du plaisir et au delà. Il savait s'y prendre, mes gémissements moururent en un cri alors que mon corps se cabrait, se tendait, mon sexe expulsant ma jouissance dans la main qu'il avait refermé autour de mon gland. ...

... Lorsque je retrouvais mes esprit après cette puissante décharge d'extase, David me souriait comme un prédateur à sa proie. Je ne réalisai pas ce qu'il faisait, je sentais simplement une main me soutenir le bas du dos, de l'autre, celle qui était maculée de mon sperme il se masturbait et étalait mon foutre sur son gland, le dirigeant vers mon anus. Un grognement de plaisir se joignait à mon gémissement de bien être alors qu'il enfonçait son pieu en moi, qu'il envahissait mon anus, mon rectum, l'étirant pour en faire le réceptacle, le nid de sa verge tendue. Ses mains agrippèrent mes hanches, guidèrent mes jambes autour de sa taille et il me fit l'amour ainsi avec tendresse de long instants, jouant de ses doigts sur mon torse, avec mes tétons voir même martyrisant mon sexe si sensible après mon premier orgasme. Son rythme fini par s'accélérer, ses coups de reins devenant plus fort, plus brutaux, plus bestiaux lorsqu'il approcha son point de non retour. Me prenant alors non plus comme un amant délicat mais comme un étalon en rut, grognant tout son plaisir alors qu'il éjaculait fortement au fond de mes entrailles, arrachant par là même mon second orgasme, ma semence s'écrasant contre mon torse et dans mon cou. Mais la passion de mon fougueux amant ne s'arrêta pas là, Il se glissa sur moi, torse contre torse alors qu'il continuait à me prendre, à faire coulisser ce mandrin gorgé de sang en moi il m'embrassait dans le cou, mordillait mes épaules, jouait de sa langue avec la mienne, ...