Avant la secrétaire (1)
Datte: 30/01/2018,
Catégories:
Transexuels
... Il m’arrivait même de porter des sous vêtements féminins en dessous de mes habits masculins. Je conservais toutefois une vie sexuelle hétéro, mais n’avais pas de relation suivie. Il m’était difficile de parler ouvertement de mes fantasmes avec mes amies ou mes amantes, car j’appréhendais beaucoup leur réaction, et, même si mon cul s’était habitué, j’avais toujours peur d’avoir mal lors d’une ’vraie’ pénétration anale. Dans un premier temps, je me sodomisais devant des films sur DVD ou internet, regardant des femmes sublimes prendre violemment le cul de mecs en imaginant que c’était le mien. Ensuite, je me tournai vers des chats en ligne et le téléphone rose pour plus d’interaction. Cela ne dura pas très longtemps. Le niveau d’interaction était limité, et, finalement, c’était à peine plus excitant que de me branler seul mais beaucoup plus cher. Cela faisait maintenant quelques temps que j’étais célibataire, mes fantasmes occupant trop mon esprit pour me permettre d’entrer dans une relation suivie, mais je n’arrivais pas non plus à passer le cap pour les réaliser. C’est alors qu’intervint Lola. Je connaissais Lola depuis quelques années. L’amie d’une amie. Nous nous étions croisé en soirées plusieurs fois, je l’avais hébergé sur mon canapé quelques fois lorsqu’elle cherchait un boulot. Lola était ce qu’on appelle communément un garçon manqué. Elle avait ses cheveux blonds coupés courts, était assez grande, presque autant que moi, avec une poitrine assez petite (85B je pense), ...
... portait des débardeurs, des pantalons et des sneakers, se maquillait très légèrement, buvait la bière à la bouteille et regardait des matchs de foot en insultant l’arbitre. Nous étions devenu d’assez bons amis au final. Un soir, elle m’appela assez tardivement. De passage sur Paris, elle avait manqué son train de retour, et cherchait un hébergement d’urgence. Mon canapé était disponible, aussi je répondis favorablement à sa demande. Elle arriva bientôt, habillée comme de coutume – jeans, débardeur - sous une veste unisexe, un mini sac à mains à l’épaule et un sac à dos contenant son ordinateur portable et ses affaires de travail sur le dos. Je lui offris une bière, elle s’installa dans le canapé et nous discutâmes quelques heures. Au moment où nous envisagions de passer au couché, elle réalisa qu’elle n’avait pas de tenue de nuit. Comme souvent, elle ne portait pas de sous vêtements, et elle ne voulait pas dormir nue dans mon canapé, surtout qu’il faisait un peu frais. Je lui dis que je devais pouvoir trouver quelque chose, mais rien de très féminin. Elle rit et me suivit dans la chambre. ’Un caleçon propre fera l’affaire’, m’assura-t-elle, ’je vais garder mon débardeur.’ ’Je peux te prêter un t-shirt aussi si tu veux.’ Je trouvai un boxer bleu dans mon tiroir à sous-vêtements et lui tendit. ’Parfait’, dit-elle, ’allons l’essayer’. Tandis qu’elle partait vers la salle de bain, je m’aperçus qu’on pouvait voir mes culottes de femme, rangées sous mes boxers. Elle ne semblait pas ...