1. Elodie chérie (6)


    Datte: 30/01/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Elodie 6 Le soir, dans le lit, je câline ma fille Elodie. Nous sommes nus tous les deux et le contact de sa peau douce sur le mienne est un vrai régal pour mes sens. J’aimerais tant que ce moment puisse durer toujours. Il me faut profiter de ces instants, car mon épouse et mon autre fille, reviendrons bientôt de leurs vacances. Ma douce enfant me dit : — Tu sais ce que j’aimerais ? — Que nous fassions l’amour ? — Oui, ça tout de suite après ! Non, ce que j’aimerais c’est te voir faire l’amour avec un ou plusieurs hommes. — Tu insistes en disant cela ! Je te dis que je ne suis pas homosexuel ! — Que tu dis ! Avoue que tu as aimé que je te troue la rondelle, il y a peu ! — Ne parles pas comme ça ma chérie, bon c’est vrai ! Tu as raison, j’ai bien aimé, mais c’était avec toi, c’est différent ! — Justement, tu devrais essayer « pour du vrai » ! — Tu ne me vois pas dire à un mec : « Ma fille veut que je couche avec vous ! » — Pourquoi pas ? Non, je pense à autre chose … Mais, pour le moment, veux-tu t’occuper de moi ? — A vos ordres, Mademoiselle ! En position de soixante-neuf, je me régale de son abricot juteux, tandis qu’elle me pompe avec ardeur, tout en me glissant deux doigts dans le derrière. Elle s’y prend si bien que je ne puis plus me contenir et la supplie de s’arrêter. Comme par provocation, elle se met à me masser la prostate, en coulissant ses doigts à toute vitesse, si bien que j’en éjacule dans sa bouche. En un tournemain, elle change de position et me fais ouvrir ...
    ... la bouche, pour y déverser ensuite la semence qu’elle retient entre ses lèvres. De longs filets blanchâtres, mélange de sperme et de salive, coulent sur ma langue et, comprenant son invitation, ou incitation, je déglutis ce qu’elle m’offre. Ce petit jeu coquin ne me déplaît pas, pas plus que d’avaler mon propre jus. Satisfaite de ma prestation, elle colle ses lèvres aux miennes et s’en suit un baiser plus passionné que d’habitude. Quand elle se redresse, c’est pour me dire : — C’est bon, n’est-ce pas ? — Très ! Je réalise après coup que sa question était relative au goût de mon jus et non pas pour notre baiser ! Inutile de préciser qu’elle est satisfaite de me réponse. Sans ignorer ma méprise à sa question ambiguë. Les femmes sont vraiment habiles à ce jeu et je suis tombé dans le panneau. Pour forcer le quiproquo et surtout tenter de me dédouaner, je simule une mastication et une déglutition pour ajouter : — C’est vraiment très bon ! — As-tu envie de recommencer ? — Pas tout de suite, je suis trop fatigué ! — Tu as raison, dormons un peu, il est tard et moi aussi je suis crevée ! Le lendemain, je suis tout foufou pour ma petite princesse, ou maîtresse je ne sais plus ! J’ai parfaitement conscience que plus le temps passe, plus je suis amoureux de ma fille. Je sais que c’est déplacé, hors nature, tabou, mais c’est un fait, j’ai le sentiment de devenir comme un adolescent qui aurait le béguin pour une fille de sa classe. Je suis prêt à tout pour gagner ses faveurs. Même si je ...
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